jeudi 18 décembre 2008

SOUVENIRS D'ARMEE !

Certains trouvent que passer une année à l'armée est une année de gâchée
et d'autres trouvent leur vocation en faisant leur service militaire.
On peut bien tomber ou très mal, être près de chez soi ou très loin.
Moi j'habite à Boulogne sur mer et j'ai fait mon service militaire en
Allemagne, plus précisément à Neustadt dans la vingt et unième compagnie
médicale et je peux dire que c'était une année de plaisir et de
vacances. J'étais secrétaire au PC.
C'est sur qu'on ne pouvait pas rentrer tous les week-end mais on pouvait
profiter de la vie en Allemagne mais surtout des allemands.

Mais il m'est arrivé une aventure avec un gradé qui est restée sans
lendemain mais qui mérite le détour.
On avait l'habitude à plusieurs copains de faire des parties de flipper
au mess et le perdant payait une tournée de bières, la seule boisson
alcoolisée qui était servie.
Un samedi où nous étions de DO, nous devions rester à la disposition des
gradés en cas de trafalgar. La journée s'était passée le plus banalement
possible et le soir après la cantine, nous étions donc au mess en train
de jouer au flipper et écluser quelques bières. Pour dire que la table à
coté du jeu était recouverte de canettes.
Quand nous en avions eu marre de jouer, nous nous étions installés à la
table et nous avions commencé à boire, quand le gradé qui devait nous
encadrer se pointe au mess.
Ce n'était qu'un sergent, il était engagé mais il était vachement sympa.
Il fait donc le tour de la caserne pour voir si tout allait bien, arrive
au mess et nous voit bien attablé :
« Dis donc, il y en a qui se gênent pas » nous lance-t-il.
« Venez nous rejoindre, chef, il y en a pour tout le monde. » « OK »
Et le voilà qui s'installe avec nous à la table, prend une canette et la
liquide d'une seule goulée.
Nous l'appelions chef car cela le faisait mousser et il ne nous
reprenait pas tout en sachant qu'un sergent ne se fait pas appeler chef
mais sergent.
« Il avait soif le chef, ça va donner du courage pour faire le tour de
la caserne. »

Vous dire de quoi nous avions parlé, j'ai un peu oublié, car nous avions
raconté chacun notre vie, détaillé notre région, exposé ce que nous
attendions de l'avenir une fois notre service militaire fini. On a
parlé, on a bu, et encore bu jusqu'à ce que la table soit vide.
On a du certainement en liquider une dizaine chacun.
Après on n'avait plus assez de doigts pour les compter. Rester assis
quand on boit cela va, mais quand on se lève, c'est là que cela tangue,
que la pièce tourne et que tout va très vite.

On sort tous et les effets diurétiques de la bière se font ressentir, il
fait noir, on contourne le bâtiment et on va se soulager la vessie à la
lueur de la lune.
Tout le monde sort son engin, ce qui me permet de me rincer l'œil et
d'admirer de beaux spécimens.
Notre sergent, pour faire autrement que nous, se tourne à l'envers et
nous exhibe son chibre tout en chantant « tient voilà du boudin.»
Nous étions tous restés baba de voir la taille de cette queue au repos.
Les copains cela les fait marrer mais ils ne regardent pas trop « on est
pas des PD » mais le sergent continue gentiment de se soulager tout en
chantant et en se trémoussant dans tous les sens ce qui fait qu'il nous
pissait un peu dessus aussi.
Et ça gueule, et ça rigole. Une fois finis, nous rangions notre attirail
mais le sergent trébuche et s'étale par terre.
On rigole une fois de plus en chantant « le sergent il est bourré », et
lui, allongé par terre, de frapper dans ses mains pour battre la mesure,
toujours le sexe à l'air.
« Qui est ce qui m'aide ? » Nous lance-t-il.
« Je vais vous relever chef mais faudrait ranger votre attirail. » Lui
dis-je.
« Fais le, j'en peux plus. » « Qui est ce qui m'aide ? » en me
retournant sur les copains
« Démerde-toi, nous on va se coucher. »
« Merci et sympa la solidarité. » Gueule le sergent.
« C'est pas grave, je vais rester et vous aider chef. »
« Merci » me dit-il en me prenant le bras.

Un peu gêné quand même, je prenais son sexe avec deux doigts et je le
rentrais dans son pantalon.
J'avais quand même eu le temps de palper et de voir que c'était pas de
la guimauve.
Je le relevais et le soutenais jusqu'à sa chambre qui était dans un
bâtiment à l'écart des dortoirs où nous dormions à quatorze par chambre..

Arrivés à la porte, il me demande si je veux pas rentrer pour boire un
dernier verre avant de repartir et l'aider à se coucher.
J'acquiesce de la tête et rentre derrière lui. Il ferme la porte à clé
prétextant qu'elle ferme mal.

Je jette un œil circulaire dans la pièce assez grande et lumineuse.
Une porte donne sur une petite kitchenette, une autre dans une salle de
bain qui fait toilette également. Dans un coin de la pièce il y a un
canapé en cuir et un meuble sur lequel est posée une télé et une mini
chaîne. Près de la fenêtre, une table et quatre chaises doivent faire
apprécier le paysage le matin au petit déjeuner et enfin le lit trône
derrière la porte avec une petite table de chevet sur laquelle sont
disposés divers objets : montre, radio réveil, une petite lampe de
chevet assez banale et quelques pièces de monnaie.

« Mets-toi à l'aise si tu veux. » Me dit-il « j'ai un bon whisky ou de
la bière. »
« Je crois que j'ai mon quota de bière et je pencherai bien pour un
petit whisky, je peux utiliser les toilettes ? »
« Te gènes pas et mets-toi à l'aise si tu veux »

Je rappelle que, quand on est de DO, on est en treillis, rangers avec
accrochés à la ceinture beaucoup d'objet qui sont assez encombrant : une
gourde, une pelle américaine, une sacoche avec à l'intérieur une lampe
de poche et ses filtres…

Je rentre donc dans la salle de bain pour me soulager et, avant de
sortir, détache ma ceinture pour être un peu plus à l'aise.
J'ouvre la porte et je vois le sergent en short et tee shirt.
Le short assez court mais large qui laissait dépasser le long de l'une
de ses jambes, le bout de son gland.
« Il s'est mis à l'aise le chef. » lui dis-je
« Ecoute, pas de chichi, et comme ça je me sens mieux. »
Je pose ma ceinture par terre près de la porte d'entrée et prend mon
verre servi avec générosité, sur la table.
Pierre (le prénom du sergent) s'était assis en tailleur sur le canapé ce
qui faisait encore plus sortir son sexe du short. Il me fait signe de
venir m'asseoir à coté de lui sur le canapé, chose que j'exécute
aussitôt, il faut être obéissant avec les gradés.
« T'habites où ? »
« Dans le Pas de calais, à Boulogne sur mer. »
« T'as une copine ? »
« Non »
« Moi la mienne, elle me manque. Elle est à Nevers, elle travaille
là-bas, c'est pour ça qu'elle ne m'a pas rejoint. On doit se marier
l'année prochaine si j'arrive à revenir dans la région. C'est long les
nuits tout seul sans femme à ses cotés pour profiter.»

Tout en parlant, je me demandais s'il se grattait ou s'il se caressait.
Je jette un œil vite fait pour voir, il bandait le salop et cela
dépassait de plus de cinq centimètres du short. Au même moment, nos
regards se croisent et il avait vu que j'avais regardé son entre jambe.
« Tu vois comme elle me manque. »
Ah ! Ça pour voir, je voyais à m'en faire sortir les yeux de la tête. Et
lui qui continuait à se caresser tout en me regardant avec plus
d'insistance.
« On dirait que cela t'impressionnes, tout à l'heure tu as hésité à la
prendre pour me la rentrer. Cela ne mort pas, tu sais. »
Et moi, sans réfléchir, étant dans tous mes états, je lui balance :
« Non, je sais, cela ne demande qu'à être sucé. »
Du tac au tac :
« Eh bien, te gène pas ! »

Sans me faire prier, je pose mon verre par terre et écarte d'une main un
peu plus l'échancrure du short pour attraper son sexe de l'autre et
l'enfourner dans ma bouche tel un gamin qui aurait été privé de sucette
depuis plusieurs mois
(c'était un peu la vérité car l'armée c'est un peu le sevrage côté sexe).
Il mouillait !
Je passe le plat de ma langue le long de sa hampe pour en apprécier un
maximum de la taille.
Lui, allongé, toujours les jambes écartées, râlait de plaisir.
« Putain, tu suce mieux que ma copine. »
Pris de joie du compliment, je redouble la cadence, lui palpant les
couilles, lui caressant le pubis, montant sous son tee shirt pour lui
caresser les seins, deux gros tétons que je pinçais.
« Attends, arrête. »
« Pourquoi ? »
« Vire tes fringues. »
« Oui chef ! »
Je me déshabille,, c'est chiant les rangers à enlever, j'allais garder
mon slip.
« Enlève tout »
Entre temps, il avait viré le short et le maillot et s'était de nouveau
allongé sur le canapé. Je reviens, m'installe entre ses jambes et
recommence à m'occuper de son sexe qui devait bien faire 23 cm
maintenant que je le voyais entièrement.
« T'aimes ça mon salopard, je m'en suis toujours douté en te regardant »
qu'il me dit tout en donnant des coups de reins pour accélérer la
cadence et m'enfoncer plus loin dans ma gorge son sexe que j'avais du
mal à avaler entièrement.

D'un seul coup, il se redresse et me donne une claque sur mes fesses, je
ne pouvais crier ayant la bouche pleine, donc je gémis, et lui de croire
que cela me plaisait, m'en donne une autre sur l'autre fesse.
Je n'avais jamais eu d'expérience de ce genre, n'ayant jamais été attiré
mais entre la douleur due à la violence des claques et un peu la
stimulation de la situation, je me trémoussais tout en gémissant.
« Vas-y » et vlan !
Une claque sur la gauche,
«Encore » et paf,
une sur la droite qui était jalouse.
Je continuais mes va et viens le long de son sexe tout en caressant ses
testicules, les léchant et essayant de descendre en dessous pour me
diriger vers son anus.
Lui ayant compris ma manœuvre, se retourne, se met à quatre pattes
« tu veux me bouffer le cul, te gènes surtout pas ! »

Il n'était pas de toute propreté mais je me suis dit dans l'état où je
suis, je n'étais plus à ça près et ça me laissera encore plus de
souvenirs. Entre la nausée et l'excitation, je lèche et lave en bavant
bien sur son anus, l'endroit tant exposé à mon regard.
Il continue de gémir, je le branle tout en le léchant, il se trémousse.
On est vraiment à la limite de l'apothéose. Il se retourne de nouveau,
s'assied et me regarde.
« J'ai envie de te prendre »
Vous me croirez peut-être ou pas, mais j'étais encore vierge de ce côté,
n'ayant toujours eu que des partenaires passifs.
Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela
s'arrête là.
Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi :
« T'as quelque chose pour me préparer, c'est la première fois »
« T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut »

Il se lève et va dans la cuisine, je l'entends ouvrir un placard et le
vois revenir avec une plaquette de beurre. Je ne savais si je devais
rire ou prendre la chose sérieusement mais je compris que j'allais
passer à la casserole et apprécier la cuisine au beurre.

Je me retourne et me mets à quatre pattes. Il prend le beurre et
commence à me badigeonner ma tirelire avec douceur.
Tout d'abord tout autour et ensuite il s'est occupé avec un doigt de mon
orifice.
Je ne pourrais pas dire qu'il ne m'a pas préparé avec délicatesse.
Il s'est ensuite installé à genoux derrière moi, s'est badigeonné le
sexe avec un peu de beurre, s'est présenté à l'entrée, a poussé un peu
pour forcer l'introduction. J'ai cru qu'on était en train de m'empaler
avec un poteau électrique.
J'ai crié, il s'est retiré aussitôt.
« C'est vrai que t'es puceau, je vais te donner quelque chose pour
éviter que tu cries. »
Il se lève, ouvre un tiroir du meuble face au canapé et en sort une
balle en caoutchouc, me la tend :
« Tiens mords ça pour éviter qu'on t'entende gueuler. »
Je l'ai prise, l'ai mise dans ma bouche et l'ai mordue du plus fort que
je pouvais.
Il s'est remis derrière moi et a recommencé son entrée. Il y a été quand
même avec un peu plus de douceur que précédemment mais a réussi à faire
pénétrer son gland, s'est arrêté pour laisser calmer la douleur.
Moi je mordais la balle et (je l'avoue) pleurais de souffrance.
Il a, petit à petit, continué sa pénétration en faisant de légers va et
viens. Je mordais, il bougeait, je pleurais, il s'enfonçait mais
toujours avec douceur et lenteur.

J'allais lui dire d'arrêter, la douleur étant trop insupportable quand
je me suis rendu compte que justement la douleur commençait à se passer,
mon anus étant dilaté et pouvant enfin supporter l'outrage que mon
partenaire m'infligeait..
« Ca va ? »
« Mieux maintenant » en crachant la balle en caoutchouc.
« Bon ben on va accélérer la cadence. »
Il a donc augmenté la vitesse de ses va et viens tout en s'enfonçant un
peu plus à chaque fois. Je me suis même demandé si cela allait ressortir
par ma bouche, vu la taille de son sexe.
J'étais en train de me faire enculer par un mec, un gradé et hétéro de
surcroît. Je ne savais pas quoi penser mais je profitais de la situation
car je ne pense pas que cela m'arrivera tous les jours.
La douleur a laissé la place au plaisir, lui me défonçant tout en
rallant et moi gémissant d'extase. Il me tenait bien par la taille et y
mettait toute sa fougue de male viril pour me défoncer au maximum de sa
force.
Je le sentais à l'intérieur de moi me labourer et il en tirait aussi du
plaisir.
J'ai senti qu'il allait jouir car il s'est retiré et un liquide chaud
s'est écoulé sur le bas de mon dos, tout en poussant de petits cris, il
m'a joui dessus.
« Ah ! C'est bon, je viens. »
Il s'est écroulé sur mon dos, moi n'ayant pas bougé et toujours à quatre
pattes sur le canapé comme un chien fidèle et docile.

« Mais tu n'as pas encore joui ? »
« Non » bredouillais-je
« Viens avec moi, on va se laver. »

Il se lève et dirige vers la salle de bains, toujours obéissant, je le
suis. Il y avait un lavabo, les toilettes et derrière la porte, je ne
l'avais pas remarqué tout à l'heure, une cabine de douche assez grande
pour tenir à deux voire trois dedans.
Il rentre, je le suis, il fait couler l'eau pour qu'elle soit chaude,
prend un gant de toilette, y met du savon, m'attrape pour me retourner,
commence à me laver le bas du dos et enlever toute trace de souillure ou
de son passage.
Il frotte et commence à faire le tour de mon corps avec le gant pour
atteindre mon sexe.
Je n'avais même pas fais attention tout au long de notre périple que les
quelques fois qu'il m'avait touché, c'était pour me donner la fessée ou
m'attraper par la taille pour m'enculer.
Tout en me savonnant, il a commencé un va et vient avec mon sexe.
Je ne rêvais pas, il était en train de me branler, rapidement mais
efficacement.
J'étais tellement excité que cela fut rapide. J'ai joui en crachant ma
semence sur la paroi de la douche.
Pour le remercier, je l'ai savonné à mon tour, un peu partout pour qu'il
soit propre et qui sait peut être remettre ça.
On s'est rincé, il a sorti des serviettes pour s'essuyer, m'en a jeté
une pour me sécher, je me suis risqué à lui essuyé le dos, il s'est
laissé faire. Alors je l'ai essuyé complètement, le dos, les bras, les
jambes, ses fesses, son torse et son sexe mais malgré mes caresses
savantes, il était vraiment HS et n'avait pas réussi à rebander tout de
suite.

Il est sorti de la salle de bain, s'est jeté sur son lit. Je suis sorti,
ai ramassé mes affaires et ai commencé à me rhabiller.
« Tu ne claqueras pas les portes en sortant. »
« Non chef ! » Lui répondis-je avec un grand sourire. « Bonne nuit, chef. »
« Ouais ! Bonne nuit et pas un mot à personne. »
« Motus ! Et bouche cousue. »


Je suis reparti vers ma piaule, ne sachant même pas l'heure qu'il
pouvait être. Tout le monde dormait, je me suis déshabillé, me suis
couché tout en repensant à ce qu'il venait de m'arriver.
Personne ne voudrait jamais me croire, donc je décidais de n'en parler à
personne. Je me suis endormi, tout en rêves érotiques pleins de gradés
qui abusaient de mon corps.

La vie à repris son court normal, et quand je croisais le sergent, je le
saluais par respect pour le grade et lui de me répondre par un clin d'œil.
Je m'étais dit qu'il n'était pas si saoul qu'il voulait le faire croire
car il se souvenait certainement de tout rien qu'à la manière de
répondre à mon salut.
Une quinzaine de jours plus tard, je le surpris sortant du mess avec un
jeune soldat et se diriger vers son bâtiment.
Et là, je me suis demandé si j'étais le premier à passer à la casserole
ou si c'était un jeu qu'il aimait jouer.

La dernière fois que je l'ai vu, c'est quand j'ai été libéré de mes
obligations militaires, avant de monter dans les camions qui nous
conduisaient vers la gare pour prendre le train qui nous ramènerait en
France. Il est venu vers moi, m'a salué en me tendant la main et me dire :
« De tous, ça a été toi le meilleur. »
Les copains m'ont charrié, ne sachant pas de quoi il voulait parler.
Mais moi je savais et cela m'a fait énormément plaisir et en même temps,
j'ai eu confirmation de mes doutes en ne regrettant qu'une chose, ce
soit de ne pas avoir remis le couvert après.
Cela fait dix neuf ans que cela m'est arrivé mais j'en garde toujours un
excellent souvenir comme si cela m'était arrivé hier.

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