samedi 27 décembre 2008

Sur la plage landaise ( 2ème partie )

Je rejoins l'intriguant emportant avec moi natte et serviette de plage.
Il est allongé, les jambes écartées au soleil. Ses bourses avantageuses
tombent mollement sur la serviette. Le pénis est au repos complet,
légèrement de travers.
L'homme a la peau encore brillante de l'humidité; il a ça et là quelques
dépôts salins qui font scintiller sa peau dorée.
Mon Dieu, qu'il est beau! Il a vraiment un look hétéro, brun, du duvet
sur tout le torse et le ventre.
Il est finement musclé et une empreinte de tablette de chocolat lui
sculpte le devant.
Il a les tétons saillants, brun violacés. Les pectoraux sont avantageux.
- "Ah, te voilà, comment c'est ton prénom, moi c'est François"
- "Michel"
- "Alors, on y va ?"
- "Je te suis ..."
Il ramasse ses agrés et nous cheminons côte à côte en direction de la dune.

Il fait une chaleur exquise, l'air marin est toujours
aussi vivifiant et l'odeur de la forêt landaise toute proche nous
ennivre lorsque nous sommes au sommet des dunes. Le long de cette plage,
les dunes se croisent et s'entrecroisent. Ce qui donne des endroits
isolés, à l'abri du vent et loin de tout regard.
Le lit d'amour approche. Nous installons le campement pour le meilleur
des conforts.
Je suis un peu gêné, car je crains les regards indiscrets!
François me rassure et me dit:
- "De toute façon, l'endroit est désert et si jamais on nous mate et
bien tant pis!"
puis il m'embrasse en me roulant une pelle d'enfer.
Il est vraiment excellent. Il me caresse voluptueusement le coprs avec
lenteur. Il me passe la main sur mon érection naissante et me félicite
de la taille grandissante (au repos, c'est minable).
Nos caresses deviennent réciproque. J'adore parcourir la forêt pectorale
et n'ai de cesse de le féliciter de sa beauté plastique.
Nos deux corps sont maintenant collés l'un à l'autre. Il râle de plaisir
et moi aussi. Nos verges tendues au maximum se frottent entre elles.
Quel plaisir d'être au soleil et de s'envoyer en l'air dans la nature!
Il parcourt mon corps de mille petits baisers accompagnés des plus
belles caresses. Il avale alors mon sexe et me pompe gouluement.
Il se met sur le dos et je me retourne pour prendre sa tige entre les
maxilaires. Chacun rend ce 69 trés efficace. Nous synchronisons nos
pompages par des va-et-vient buccaux!
Il faut que je me retienne, c'est tellement intense que je risque de
lacher la purée.
Visiblement c'est réciproque.
François me dit :
- "Ah! Je vais jouir, tu es trop bon"
Et sans me laisser le temps de répondre, il lache toute la crème sur mon
torse et me branle pour que je fasse de même. Je lache tout et nos mains
se mêlent dans la semence étalée.

Génial, mais un peu court! Nous nettoyons nos corps
avec des mouchoires en papier et reprenons notre étreinte.
Nos bouches sont dés lors collées et nous laissons la tranquilité
envahir nos corps.
C'était vraiment bon et François s'endort, j'en fais de même contre lui.

Passe une demie heure et nous nous réveillons. Chacun
avait repris sa place sur l'installation.
Quelle douceur! Nous croyons que le temps est immobilisé.
François recommence à me rouler des pelles et alors, chose rarissime,
une érection me reprend.
Allons-nous de nouveau prendre notre pied ? Visiblement l'excitation est
réciproque. Toujours ces caresses langoureuses qui nous éveillent
l'ascencion de l'orgasme.
Il me dit :
- "Veux-tu que je te prennes?"
Il sort de son sac à dos le préservatif salvateur et me prépare
l'orifice en introduisant un doigt, puis deux.
Il est connaisseur, car son touché me fait immédiatement plaisir.
Il parcourt ainsi le bout du tunnel pendant cinq bonnes minutes.
Je mouille de plaisir! Le canal est prêt à être embouti.
Je m'embroche sur son piton et fais pénétrer la chose calmement. La
gorge me sert, tellement c'est bon et j'ai du mal à glutiner.
Il fait alors des aller et retours vigoureux et mon sexe tendu sur son
ventre poilu joue la chamade.
Je cambre les reins au maximum et la copulation est parfaite. J'approche
mes lèvres des siennes et nous nous roulons un patin langoureux.
Excellent! Nous sommes tous les deux en extase.
L'étreinte dure un bon quart d'heure et je rêve que celà ne finisse pas.

La chaleur des débats nous fait transpirer.
Il interrompt le coït pour me demander si je veux à mon tour le prendre.
J'enfile donc une nouvelle capote et introduit mon sexe dans son entrejambe.
Nous sommes en position du "missionnaire". Lui sur le dos et moi entre
ses jambes.
J'accroche son corps par dessous ses épaules et donne des grands coups
de rein qui lui procurent un plaisir délicieux.
- "Vas-y" me lance-t- il.
J'appelle toute ma réserve d'énergie et je fonce à 100 à l'heure dans
son trou qui est tout à fait dilaté.
Notre souplesse permet des positions ambitieuses.
Il prend son sexe dans sa bouche et se pompe le dard pendant que
l'extase naissante me fait cracher tout le foutre dans son vagin anal.
Je suis ko, lui aussi, car la jouissance fut réciproque et
l'éclaboussure du sperme s'entremêle dans les poils de sa poitrine velue.
Je me retire lentement et nous tombons immobile sur nos serviettes
respectives, les bourses bien applaties de cette double séance.
Il est 18 heures, nous plions les gaules pour rentrer.

Le lendemain, je n'avais qu'une hâte: revoir François !
Et bien , j'ai eu beau parcourir un brin du littoral, je n'ai jamais
revu cette créature de rêve.
Je garde un souvener fantastique et cette côte landaise est imprégnée à
jamais du plaisir que j'ai vécu avec lui.

vendredi 26 décembre 2008

Sur la plage landaise ( 1ère partie )

C'est l'été et nous avons décidé avec mon épouse de passer nos vacances
dans les Landes vers Hossegor.
Je suis marié, mais aime également les hommes, les vrais, les durs, les
vrais mecs quoi! Je suis donc "BI".
L'Atlantique est magnifique sur la côte landaise; les plages s'étalent à
perte de vue et les lames argentées sonnent un refrain musical sans
cesse renouvellé.
Nous ne nous lassons pas de ces merveilles.
Depuis quelques années, nous avons décidé d'y faire du naturisme, sur la
plage uniquement. Pour ce faire, il y a des tronçons de plage réservés.
Ce sont des endroits toujours calmes et jamais surpeuplés.

Nous voyons des couples comme nous, des gens seuls qui passent leur
temps à profiter du soleil landais généreux cette année.
Je n'aime pas trop cet immobilisme et préfère me promener le long du
ressac en effectuant des allers et retours. Cette promenade me permet de
mater les belles dames et aussi les beaux messieurs.
Justement, voici un gars qui était d'ailleurs à la même place hier.
Il est brun, fin et hyperbronzé. Visiblement, il est bien monté ! Je
passe et repasse devant lui, ralentissant le pas à chaque fois qu'il est
à proximité. Je pense :
"Voici un mec drôlement bien, j'ai envie de lui, mais comment lui faire
comprendre ...".
Il paraît qu'il existe des espèces de codes gestuels qui font comprendre
nos intentions.
Comme je les ignore, je suis embarassé!

C'est alors que le type se lève pour aller dans l'eau.
J'observe ce bel étalon qui est sans doute hétéro puisqu'il ne me fait
aucun signe.
Je m'arrête pour le regarder évoluer dans l'eau; c'est un bon nageur. Il
fait quelques mètres d'un crawl parfait et sort de l'eau en direction de
son installation.
Je suis au bord de l'eau et m'approche de sa trajectoire.
Il est superbe, encore plus beau avec le corps scintillant de gouttelettes.
Je m'allonge au bord de l'eau, les jambes écartées et reçois les vagues
mourantes sur la moitié du corps.
Le nageur passe tout prés de moi, me regarde et me sourit. Je lui
demande si l'eau est bonne.
Il me répond calmement :
- "Excellente, quel pied !"
- "Ah, je vais peut- être y aller alors !"
Il me dit :
- "Mais, je vous vois souvent naviguer au bord de l'eau, vous êtes seul?"
Question embarassante!
- "Non, mais j'aime bien me promener seul, la plage est agréable ..."

Il se baisse et vient s'assoir à côté de moi.
Ouh là ... La conversation prend alors de l'ampleur et nous parlons de
nos motivations respectives pour venir à cet endroit.
D'amblée, il me dit :
- "Oh, vous savez, je fais du naturisme depuis longtemps et ici c'est
merveilleux, parce qu'il y a de belles choses à voir"
Je lui demande lesquelles.
Il me répond:
- "Ben, des gens comme vous ... par exemple!"
(je crois que je lui plais, reste à concrétiser.)
- "Vous trouvez que je fais partie de ces belles choses ?"
- "Oui, parce que j'aime bien les hommes de votre style!"
Si ce n'est pas une déclaration, je n'y connais rien !!!
- "Vous préférez donc les hommes aux femmes"
et du coup, il me répond:
- "Oui, je préfère les hommes"
Bienvenue au club !!!
Je lui relate donc mes goûts qui sont similaires.
- "Nous pourrions peut-être passer un moment agréable ensemble!"
Ah oui.
- "Tous les deux, seuls ?"
- "Oui, bien sûr!"
Heureusement que le sable emporté par les vaguelettes couvrent mon sexe
que je sens durcir!
- "Là bas dans les dunes, il y a des coins sympas protégés de tout
regard, on pourrait y faire un tour"
Bien, cette fois c'est concret.
- "Bon, je vais aller prévenir mon épouse que je promène plus loin que
d'habitude et que ça prendra une heure!"
- "Ok" me répond-il,
- "tu reviens ici aussitôt !"

Je vais voir mon épouse qui se demandait ce que je faisais.
- "J'ai mal à la tête aujourd'hui, je voudrais rentrer"
- "Ah bon, moi je me sens bien, l'air est parfait, écoute vas- y, ne
t'occupe pas de moi, je rentrerai à pied!".
Du coup, elle remballe les outils et reprend la voiture pour rejoindre
le petit pavillon loué.

Feu vert pour l'aventure, je n'en espèrais pas tant.

jeudi 25 décembre 2008

Débuts

Ça fait deux heures que je suis dans cette salle de musculation, et
depuis un bon moment un type me regarde en douce.
Il est brun, environ un mètre soixante quinze, des yeux verts, le teint
légèrement hâlé.
Il porte un tee-shirt blanc court qui lui descend sous le nombril et un
shorty en lycra bleu ciel, moulant à souhait.
J'attaque le développé couché. Je suis allongé sur un banc qui passe
entre deux poteaux sur lesquels on dépose la barre chargée de poids. À
l'arrière du banc une petite marche permet à un équipier de se placer
au-dessus de celui qui s'entraîne, pour l'aider à reposer la barre si ce
dernier ne peut la soulever à fond en raison de la fatigue.
Je suis moi aussi en tee-shirt blanc et moule-burnes vert. J'ai chargé
la barre avec les poids.
Je m'allonge. Le mec me regarde toujours.

Je me relève et vais droit sur lui avec un grand
sourire pour lui demander s'il veut bien m'assurer pendant ma série.
Il accepte et vient se placer au-dessus de moi.
Imaginez: je suis allongé sur le banc, la tête pratiquement entre les
jambes du mec, avec vue imprenable sur son entrejambe!
Je commence ma série de douze levers; il vient m'aider pour le dernier
relever.
- "Merci, tu veux qu'on alterne?"
- "Oui je veux bien..."
- "OK, vas-y."

On échange nos places: moi au-dessus de lui, allongé
sur le banc. Sa queue est coincée le long de sa cuisse, un peu gonflée.
Ses couilles moulées par le shorty sont bien remontées.
Il attaque une série de relevés, lentement. La charge doit être un peu
lourde pour lui, il peine un peu, et du coup se met à bander!
Sa queue emprisonnée ne peut que s'allonger le long de sa cuisse.
Il termine sa série.
Sa queue bandée me donne des idées qui se remarquent tout de suite dans
mon moule-burnes.
Nous échangeons à nouveau nos places.
Moi j'ai une vue impeccable sur sa queue raide le long de sa cuisse, lui
une vue plongeante sur ma queue raide plaquée sur mon ventre.
Je commence ma série. Il fixe ma queue...
Une petite tache apparaît au bout de sa queue, à travers le tissu.
Dix, onze, douze j'ai fini, en me relevant je lui fais remarquer qu'il a
une petite tache le long de sa cuisse; il rougit, plonge sa main dans
son shorty, et remonte sa queue sur son ventre en me bredouillant un merci.
Je lui dit de ne pas s'en faire. Il sourit et s'allonge à son tour.
Sa série terminée, je lui dis que j'ai fini ma séance, et le remercie de
m'avoir aidé pour l'entraînement. Il me dit:

- "Tout le plaisir était pour moi!"
- "J'ai vu!" Je lui réponds avec un grand sourire.

Du coup, il pique un fard!
J'éclate de rire et il rit avec moi. Je lui fais un petit signe.

- "À bientôt, je n'en ai plus pour longtemps!"
- "Bye!"

Je me rends dans les douches. Une bonne douche, et
puis une petite séance de hammam, rien de tel pour détendre les muscles.
Ça fait cinq minutes que je suis allongé nu sur ma serviette quand il
entre dans le hammam une serviette autour des reins.
Il vient s'asseoir en face de moi, jambes écartées.
Il fixe ma queue qui, du coup, prend du volume. Il est figé, les yeux
rivés sur ma queue qui bande ferme, maintenant.
Je relève un peu la tête. Sa queue est raide sous la serviette, sur une
belle paire de couilles pendantes.
Je me relève et m'assieds, la queue plaquée sur mon ventre.
Il me regarde, toujours fasciné.
Je commence à me masser la tige avec ma main gauche. Il ne dit rien.
Du coup, je glisse ma main droite sous sa serviette et je m'empare de sa
queue! Elle est raide, et bien chaude... il pousse un petit gémissement
ferme les yeux et se laisse caresser.
Je soulève sa serviette; il la dégage.
Maintenant il est nu face à moi je commence à le branler.
Il ouvre les yeux et me demande s'il peut toucher ma queue.

- "Bien sûr, elle ne demande que ça!"

Il pose sa main sur ma queue et commence à me branler. Je m'approche de
son visage et pose mes lèvres sur les siennes.
Il a un petit mouvement de recul, puis il se détend et entrouvre ses lèvres.
Ma langue s'insinue entre ses dents et va à la rencontre des sa langue.
Nous échangeons un baiser vigoureux... il en redemande, le bougre!
Nous nous mettons debout. Il se plaque contre moi, nos queues se
touchent nos mains parcourent nos corps.

- "C'est bon! me dit il. Quand je t'ai vu, j'ai eu envie de toi..."
- "Je l'avais remarqué! Lui dis-je."

Il éclate de rire! Je descends le long de son corps pour lui prendre la
queue dans ma bouche, il pousse un grognement.
Je commence à le pomper quand la porte s'ouvre...
Un mec entre dans le hammam! On se sépare tout de suite, serviettes
rabattues.
La vapeur nous protège: le mec n'a rien vu... ouf!
Deux minutes après je me lève et sors laissant là mon amant et le mec.
Je fonce aux douches.
Quelques secondes plus tard, il arrive lui aussi pour prendre sa douche.
Nous sommes seuls.
Je lui dit que j'habite à 500m de là, et qu'il peut venir chez moi s'il
veut. Il accepte.
On se rhabille et on se retrouve sur le trottoir.
Il me confie qu'il n'a jamais fait l'amour avec un mec et qu'il en meurt
d'envie. Mais ça lui fait un peu peur.
Tout en marchant, je lui dis que s'il ne veut pas faire quelque chose,
on ne le fera pas. Il se détend.

On arrive à mon immeuble. L'ascenseur, la clé dans la
porte. J'ouvre et l'invite à entrer.
Dans l'entrée, je pose mon sac. Il en fait autant.
Je lui montre le salon où je l'invite à s'asseoir sur le canapé. Il
s'installe. Comme il semble tendu, je lui propose un verre. Il accepte.
Je lui sers un cognac.
Je m'assieds à côté de lui et nous bavardons. Ça fait longtemps qu'il a
envie de faire l'amour avec un mec, mais il n'a jamais osé.
Tout à l'heure, quand il m'a vu, l'envie a été plus forte que ses peurs.
Je prends son verre le dépose sur la table basse et passe mon bras
autour de ses épaules.
Il pose sa tête sur la mienne et se détend. Ma main caresse sa poitrine.
Il se laisse faire. Quand mes doigts caressent ses seins, sa respiration
s'accélère. Je pose mes lèvres sur les siennes. Il ouvre la bouche et
nous échangeons un baiser long et profond.
Quand nous nous séparons, je lui enlève son sweat shirt, et en profite
pour lui sucer les tétons. Il grogne de plaisir. Ma main glisse sur son
ventre et descend lentement vers sa braguette, que je masse. Sa queue
est dure.

Je l'embrasse de nouveau tout en défaisant sa
ceinture, j'ouvre sa braguette. Il gémit et se laisse faire. Je dégage
son jean que je fais glisser. Il soulève les fesses pour m'aider.
Il est là, en slip, sur le canapé. Je me lève, fais sauter mon sweat
shirt et mon jean, et viens m'asseoir à côté de lui.
Il me sourit. Nous échangeons un baiser.
Je pose ma main sur son slip, il en fait de même. Je le masse en
douceur. Son slip a du mal à garder sa queue.
Je me glisse à genoux entre ses cuisses, je pose mes lèvres sur ses
couilles, et je souffle à travers le tissu. Je sens sa bonne odeur de
mâle, il murmure:

- "C'est bon!"

Doucement je dégage ses couilles en tirant sur l'élastique de son slip.
Elles pendent là, sous mes yeux. Je gobe une de ses couilles que je fait
tourner dans ma bouche avec ma langue...

- "Putain, que c'est bon! Me dit il."

Le bout de sa queue dépasse un peu de son slip. Un petit coup de langue,
il gémit...
Lentement je fais glisser son slip; il soulève les fesses. Sa queue
jaillit, raide, et vient frapper son ventre... je prends sa queue, tire
sur la peau pour dégager son gland.
Il me regarde faire, intrigué et un peu tendu.
Je pose mes lèvres sur son gland que je gobe, en tournant ma langue
autour, pour titiller le frein.
Doucement, sans s'en rendre compte, il fait de petits mouvements du
bassin. Il aime mon traitement!
Sa respiration s'accélère; je sens qu'il va jouir, j'arrête. Il me
sourit et me dit:

- "À toi..."

Je viens m'asseoir sur le canapé.
Il fait glisser mon slip et commence par regarder mon sexe.
Il approche son visage et se met à sentir mon sexe. Son nez frotte mes
poils pubiens. Je suis bien.
Enfin, il prend ma queue dans sa main dégage mon gland et commence à me
sucer.
Il s'arrête, me regarde, et me dit dans un sourire:

- "C'est bon..."

Il s'y prend bien, il apprend vite... Pour une première fois, on dirait
un pro.
Il se déchaîne sur ma queue, je sens que s'il continue, je vais jouir...
Je lui propose d'arrêter et de faire une pause. Il accepte.
Nous reprenons nos verres il est tout sourire il me dit qu'il
n'imaginait pas ça aussi bon.
Nous bavardons encore un peu sa queue se remet à bander la mienne... aussi.

Je lui propose un 69. Nous glissons sur le tapis et
là, allongés l'un contre l'autre, nous commençons un long 69.
Nos queues glissent entre nos lèvres nos mains parcourent nos corps.
Au bout d'un moment il me dit qu'il va jouir.
Je continue à le sucer; les premiers spasmes annonciateurs commencent.
Il veut se retirer. Je garde sons sexe dans ma bouche, un, deux,
trois... cinq longs jets viennent remplir ma bouche. Il halète, il est
secoué de violents spasmes.
Sa respiration se calme, sa queue ramollit, je me retourne et viens me
coller contre lui.
J'approche mes lèvres des siennes; il entrouvre la bouche; je lui donne
un baiser avec ma bouche pleine de son sperme. Il est surpris par son
sperme, puis il me donne un baiser passionné. Nos salives et son sperme
se mélangent dans nos bouches. Il avale son sperme nous nous séparons.
Il me confie qu'il n'avait jamais goûté son sperme et qu'il trouve ça bon.
Nous faisons une nouvelle pause.
Il n'aurait jamais imaginé que cela puisse être aussi bon. Nous nous
caressons doucement pendant que nous bavardons.

- "Je voudrais que tu me prennes, me dit-il, mais j'ai peur d'avoir mal."
- "Ok, moi aussi j'ai envie de te prendre... Je vais te préparer. Si tu
es bien détendu, tu n'auras pas mal."
- "On essaye?"
- "D'accord, mets toi à quatre pattes, je vais te préparer."

Il s'exécute. Son petit cul bien ferme est offert à mes yeux. Je caresse
ses fesses puis je commence à lui lécher le trou.
Il pousse de petits cris de plaisir.
Longuement, je lui lèche son trou, tantôt avec la langue bien large,
tantôt avec la langue en pointe, au bout d'un moment son petit trou
s'ouvre, je glisse un doigt, il se crispe.
Je lui dis de se détendre, il se laisse faire.
Mon doigt glisse dans son trou, passe l'anneau serré... ça y est
maintenant, je masse doucement sa prostate. Il grogne de plaisir. Mon
doigt joue librement dans son trou. J'y glisse un deuxième doigt.
Il me dit que je lui fais mal. Je lui réponds:

- "Tout doux, laisse-toi faire... "

Maintenant, c'est trois doigts dans son trou. Il remue le bassin. Il aime.
Il est dilaté, mes doigts toujours dans son trou. Je lui présente ma
queue pour qu'il la suce et la couvre bien de salive. Il me pompe comme
un fou. Quand ma queue est bien raide, je viens me positionner derrière
lui. Je pose mon gland contre son trou, je pousse un peu. Mon gland
entre difficilement. Il pousse un cri:

- "J'ai mal! Me dit il."

J'attends un peu qu'il se fasse a mon bout, puis quand il est détendu je
lui dis que je vais entrer lentement, qu'il se détende et qu'il pousse
comme s'il voulait aller à la selle. Au moment où il pousse, j'entre
lentement.
Il pousse un cri et me dit que je le déchire... J'attends un peu.
Son anneau s'est détendu. Je lui dis qu'il reste la moitié a entrer. Il
me dit d'y aller. Je pousse. Ma queue entre a fond, mon ventre vient
frapper ses fesses.
Je lui dis que je suis entré à fond... Il se détend.
Son fourreau chaud enserre ma queue. Je commence un lent va et vient. Il
gémit de plaisir et murmure:

- "C'est bon, c'est bon ..."

Mon gland masse sa prostate à chaque aller et venue. Maintenant il
accompagne mes mouvements.
Ma main glisse entre ses cuisses et lui caresse les couilles.
Il me dit d'aller plus vite, ce que je fais. Je sens son cul me serrer;
les premiers spasmes de sa jouissance me massent la queue.
Il jouit violemment, entraînant ma jouissance... Je me vide dans son
cul. Mon corps est parcouru de violents spasmes. Ma main est pleine de
son sperme.
Nous nous écroulons sur le tapis. Je le prend dans mes bras. Il est tout
sourire.

- "Tu es mon premier mec... Merci d'avoir été si doux."

Nous restons un moment là sans bouger, le temps de retrouver nos esprits.
Au bout d'un moment, il me dit vouloir goûter mon sperme. Il se penche
sur mon sexe et l'engloutit.
Il commence à me pomper lentement d'abord puis de plus en plus vite, il
glisse un doigt dans mon cul. L'effet est immédiat: je me vide dans sa
bouche... Il avale tout, puis vient me donner à goûter mon sperme.
Il est heureux souriant.
Nous nous levons, prenons une douche. Couverts de mousse, échange de
baisers, l'eau chaude coule sur nos corps, on est bien.
On se sèche on se rhabille et on finit nos verres.
Il me dit qu'il a beaucoup aimé et me demande si nous pourrons recommencer.
Sûr que je suis d'accord! Je retourne au gymnase le lendemain. S'il
veut, nous nous entraînerons ensemble et nous finirons l'entraînement
chez moi. La proposition lui convient tout à fait.

Encore un baiser, il me quitte et me laisse sa
carte. Je lui donne mon numéro de téléphone. Un dernier baiser, puis il
me quitte.

Vivement demain ...

mercredi 24 décembre 2008

Un footing bien agréable

Chaque Week-End, vers 8 heures, je me réveille avec un sexe en demi
érection.
Les fesses a l'air, un tee-shirt, je prend mon p'tit dej.
J'enfile ensuite mon survêtement, mes tennis et je pars faire mon
jogging dans le bois tout proche de mon appart.
L'air frais matinal fouette mon corps et s'engouffre dans mon survet.

Après 15 minutes de course, je m'arrête pour assouvir
un besoin pressant.
Adossé à un arbre, je vide ma vessie gonflée.
Quand surgit, stoppé dans sa course par mon exhibition involontaire, un
p'tit mec d'une vingtaine d'années, trapu habillé d'un short moulant
mettant en valeur parfaitement son corps, tout barbouillé par la sueur
de son footing.
Ses yeux se fixent sur le jet de ma bite.
Il me glisse un sourire que je suppose complice, tout en épongeant de sa
main gauche un torse brun et velu.
Je vois pointer sous son short noir un gonflement de plus en plus important.
Presque gêné, le garçon essaye de camouffler son érection mais celle-ci
est si importante qu'au moment où il allait repartir pour son
entrainement, j'éclate de rire et lui dis :
- "Je te fais de l'effet, on dirait ?" Je m'appelle Stéphane, et toi ?
- "Pascal....On fait un tour ?"

Et côte à côte, on se remet à courrir en évitant le
parcours habituel.
Après 5 minutes de courses assidues, nos corps commencent a fatiguer.
Nous nous arrêtons en se laissant tomber entre deux arbustes, sur un
coin d'herbes.
Un silence de mort nous enveloppe. Je fixe ce corps que je désire comme
un fou.
Après avoir repris mon souffle je lui demande si il est fatigué.
Pour seul réponse, Pascal se lève.
Son short à la hauteur de ma bouche, je pose un long baiser humide sur
la bosse saillante. Je la mordille à travers le tissu.
Pascal gémit, gagné par le désir. Ses jambes flagellent.
J'écarte l'élastique et je glisse le short lentement le long de ses
cuisses bronzées et velues, faisant jaillir comme un ressort une épaisse
bite brune.
Pascal est soulagé.
Je masturbe ce membre magnifique pendu à son bas-ventre.
Pascal s'agenouille, m'enlace et plonge sa langue chaude dans ma gorge,
tandis que son sexe bondissant empale mon jogging que je m'empresse de
baisser.

Bite contre bite, ventre contre ventre, nous nous
frottons, les glands entortillés de poils.
A ce jeu la, nous n'avons pas mis longtemps a exploser de nos semences
epaisses et odorantes.
Pascal me lèche le visage, le nez puis coulisse le zip de mon blouson,
afin de téter mes seins .
Je m'abandonne. Nos sexes apaisés baignent dans leur foutre, repus.
- "C'est fou!" dis-je tout bas.
- "On ne peut pas expliquer", repond Pascal en me donnant un baiser.
Je tourne Pascal sur le dos et, à califourchon, j'empoigne nos deux
tiges molles et humides, les décalottant par petits coups secs.
Nos bites décollent très vite sous l'effet lubrifiant de notre sperme.
Je frotte de l'autre main nos glands unis et déja durs. Nos zobs
doublent de volume.
Nous gémissons chaque fois que je presse le haut du frein.
Nous communions dans la même fusion, raides à en avoir mal de plaisir.
Je me penche vers son zob que je suce comme un fou, je lêche ses couilles.
Pendant ce temps Pascal me tripote partout avec ses mains de mâle. Il
palpe mon cul, ma pine et mes burnes, puis il me fait venir tête bêche
sur lui.
Je garde son sexe entre les lèvres et lui me lèche le cul à coup de
langue rapeuse.
Ses doigts remplacent sa langue, d'abord un qu'il introduit dans mon
trou pour en juger l'élasticité puis un deuxième.
Je rale de plaisir.
- "Viens Pascal, prend moi"
Aussitôt, Pascal se lève, il veux me prendre debout.
Je me retrouve les mains contre le tronc d'un arbre, les cuisses
écartées, le coprs penché vers l'avant et lui, derriere moi.
Il s'introduit avec douceur, il marque des petits temps d'arrêt avant de
s'enfoncer plus en avant et il fini par me la mettre toute entière.
Pascal va à un rythme lent, profond et régulier. Je n'en peux plus,
c'est trop bon.
Il accélère. Le mouvement de ses va-et-vient deviens plus rapide, ses
couilles viennent taper les miennes a chaque coup.
- "Je ne vais pas tardé" me dit-il
- "Je veux jouir en même temps que toi"
Il prend ma bite et commence a me branler tout en continuant a me limer.
Je ne peux plus tenir.
Je lui donne le signal et dès que je le sens se vider en moi, j'explose
a mon tour contre l'arbre dans un râle de soulagement.
Mon foutre coule le long du tronc.
Pascal passe ses bras à mon cou et m'embrasse comme un enfant.
Je le serre fort contre moi.
Je dois partir et lui demande si il sera la le WE prochain
- "Oui" me dit-il
Je l'embrasse et pars comme j'étais arrivé : en courrant.

Nos joggings du Week-End ne seront plus dorénavant
des courses esseulées et sans but.

mardi 23 décembre 2008

Une belle "surprise"

20h30, j'ai rendez-vous avec François, mon petit ami depuis quelques années.
C'est une relation purement sexuelle!
Il m'a appelé dans la semaine pour me donner ce rendez-vous en me disant
qu'il me ferait une surprise !

Je sonne, il ouvre. François est de taille moyenne,
brun bouclé, yeux verts et trés velu, comme je les aime ! C'est un
gaillard de style hétéro, j'ai horreur des fofolles.
Nous nous embrassons, prenons des nouvelles de chacun.
J'attends , en secret, la Surprise. Nous buvons un verre, puis deux. Le
whisky agrémenté de coca commence à me tourner la tête.
- "Bien, François, si on allait se faire un petit calin?"
- "Justement ..." me répond-il
- "Justement quoi ?"
- "C'est la surprise ...".

Interloqué, je ne vois pas où est cette surprise.
J'imagine qu'il a un problème physique, il s'est peut-être fait opéré ?
- "Attends un peu, tu vas voir c'est la surprise".
Je prends mon mal en patience et décide d'attendre ... la Surprise!
On reboit un verre. Décidément, si nous allons au lit, je ne réponds de
rien. Quand je suis un peu ivre, les autres en profitent pour me faire
des trucs hors du commun !

On sonne à la porte (étrange .. d'habitude François
s'organise pour qu'on reste seul !).
Il va ouvrir et un inconnu pénètre dans le salon.
Un gars de 1m80, fin, visiblement musclé, les avants bras couverts d'un
poil épais velouté. Il a un sourire épanoui. Ils s'embrassent! Tiens, un
autre petit copain.
Nous rebuvons un verre ensemble. La discusion tourne autour des
activités de la journée. Je comprends que Bernard travaille dans
l'informatique (mon dieu, il a un regard de braise).
Passent 30 mn et j'attends encore la Surprise !

François s'aperçoit de mon embarras et me dit :
- "Dis donc, il serait peut-être temps de se faire un petit calin ".
Comment ça, il ose dire ça devant Bernard. Mais que se passe-t-il?
Et Bernard de rajouter :
- "Tu attends une surprise ... et bien c'est moi la Surprise"
Devrais-je comprendre que le calin de ce soir sera partagé à trois? Bingo !

François et Bernard commencent les hostilités.
Comme je suis un peu voyeur, ça tombe bien ! Ils s'embrassent, se
paluchent et déboutonne leur chemise. Je regarde, médusé et ... excité.
Ils sont magnifiques tous les deux.
Bientôt leur torse dévoile la même touffe de poils. Ils me regardent et
m'invitent à rejoindre leur débat.
- "Et bien, tu ne veux pas participer ?"
Que faire, que dire ? Je n'ai jamais fait de partouze.
- "Allez, viens, on ne va pas de manger"
Et je me suis laissé faire. Ils sont aprés moi tous les deux! c'est fou.
Un m'embrasse, l'autre me déshabille !
Excellent, que c'est bon tout ça !

François décide d'emmener tout son petit monde dans
la chambre.
Nous sommes maintenant tous les trois à poil. C'est la cas de le dire
puisque nous sommes trois poilus.
On se suce mutuellement formant un cercle de plaisir intense.
On se caresse, quatre mains qui vous passent sur le corps, c'est
sensationnel. Je décuple le plaisir (le whisky en est responsable un peu
aussi).
François sort les poppers et mon coeur joue la chamade à un rythme
effréné. Chacun improvise quelquechose pour rendre l'instant encore plus
érotique.

Je prends les deux verges avantageuses dans la
bouche, j'ai un peu de mal, mais ils coopèrent à merveille.
Ils se roulent des patins de frénésie et je n'ai pas assez de mes yeux
pour admirer leurs belles sculptures.
Avec François, je suis plutôt passif, mais pour une fois j'aimerais bien
"défoncer" la Surprise !

Je me fais apparemment bien comprendre, car le
préservatif m'est bientôt installé et je pénètre le cornet de la
Surprise. Il est ouvert à souhait.
Mes allées et venues le font râler de plaisir pendant qu'il suce son
copain. Je me retiens afin que le plaisir dure au maximum.
François me demande alors si je veux à mon tour me faire prendre. Bien
sûr, j'ai l'habitude avec lui. Mais François d'ajouter :
- "Et si on te prenait à deux?"
- "Pourquoi pas ?"
François et Bernard se mettent allongés, les jambes entrecroisées et les
sexes côte-côte.
Je prépare mon postérieur par un large massage enduit du meilleur
lubrifiant.
J'attrape les deux pics dans la main et m'enfilent sur ceux-ci. Au
premier abord, c'est plutôt rude.
La douleur fait place à un délice indécriptible ! Avec douceur, ils
persistent dans la double pénétration et au bout de quelques temps, le
double va et vient me transporte au septième ciel.
Le triptyque évolue ainsi pendant cinq bonnes minutes pour finir par une
juissance collective qui assomme chacun des participants.
Je décapsule le double assaut et nos corps sans vie s'entremêlent dans
une douceur extrême qui suit toujours les meilleurs débats.

J'ai bien ressenti la Surprise et remercie François
d'avoir pris cette initiative.
Nous retournons au salon après s'être nettoyés à la salle de bain et je
contemple encore ces deux corps idylliques qui m'ont fait connaître un
des mes meilleurs orgasmes.
Je me rhabille. Bernard en fait autant et nous quittons François,
décidemment hôte apprécié.
L'ascenceur connait encore quelques calins et embrassades.
Nous sortons et rejoignons respectivement nos voitures pour filer dans
les avenues parisiennes calmées par l'heure tardive.
Excellente soirée!

Et vous, avez-vous essayé ?

lundi 22 décembre 2008

Les routiers sont sympas

A l'époque, j'avais 19 ans.
Etudiant, je rentrais le week-end en faisant de l'auto-stop sur les
nationales de l'est de la France.

Un vendredi d'une fin de printemps torride, je m'installe à la sortie de
la ville et commence à pointer le pouce.
A cette époque, les gens s'arrêtaient facilement et je n'ai jamais eu
d'ennuis en utilisant ce mode de transport.
Au bout d'une quinzaine de minutes, un gros camion s'arrête, bravant une
gêne de la circulation intense en cette fin d'après midi. J'ouvre la
grande porte de la cabine et demande au chauffeur s'il va bien à
l'endroit où je dois me rendre.
« Pas de problème p'tit gars, monte ».
Je ne suis pas de très grande taille et monter dans une cabine de poids
lourd, ce n'est pas évident. Il m'aide en m'empoignant le bras et me
voilà dans la cabine où je domine tout ce qui m'entoure. La route vue
d'un camion, ca change tout.

Le chauffeur est un grand gars d'une trentaine d'année, il est brun et a
deux yeux bleus splendides.
Son maillot style « Marcel » laisse apparaître une fourrure généreuse
sur le torse. Il n'a guère les mains d'un camionneur, car les doigts
sont effilés.
La conversation tourne autour de quelques banalités.
La chaleur monte dans la cabine, car le soleil encore présent chauffe en
cette fin de printemps. Le routier se passe la main sur le buste et
répète sans cesse : « Il fait chaud, mais quelle chaleur ! » en me
lançant des regards évocateurs !
Je n'ai à l'époque pratiquement aucune expérience sexuelle avec un
homme. Pas plus d'ailleurs avec les filles ! Mais je sais que les hommes
m'attirent et ce routier en fait partie.
Je devine que je ne laisse pas indifférent, mais l'inconnu fait souvent
peur et j'ai du mal à lui faire comprendre qu'il m'intéresse !

Au bout de quelques kilomètres, le dialogue devient plus sympathique. Il
s'intéresse à mes études et moi à son travail qui doit être fatiguant !
« Il faut que je m'arrête pour boire un coup »
Soit, s'arrêter en camion n'est pas évident. Enfin une aire de repos est
signalée et emmène le convoi à l'ombre de quelques platanes.
Il coupe le moteur et me demande si je veux partager sa boisson ! Je
lape deux à trois gorgées et c'est vrai que ça fait du bien.
C'est alors que nos regards se croisent et l'intensité de son regard
bleuté éveille mon sexe. Je ne fais rien paraître … mais le chauffeur
commence à se passer la main dans l'entrejambe.
Je crois comprendre ses intentions et fais le naïf !
Il me dit doucement
« Tu aurais envie ! »
Je ne dis pas non et lui sourit. Il s'approche de moi
« tu aimes les hommes ? ».
Je lui dis que je n'ai pas beaucoup d'expérience !
« Tu es drôlement mignon, j'ai envie de toi, tu vas voir c'est super ».
Secrètement, je pense qu'il doit avoir raison.
« Mets toi à l'aise, il fait chaud ».
Il commence par m'embrasser, alors là aucun doute, l'érection qui surgit
dans mon pantalon le prouve.
Il masse la bosse créée par l'excitation.
Je comprends que le moment est arrivé et que je vais pouvoir caresser
son sexe au travers du pantalon qu'il n'a pas encore dégrafer.

Il me suggère d'aller à l'arrière de la cabine où une couchette sera
plus confortable.
Il me montre l'endroit, y pénètre et je le suis.
Celle-ci est entourée de rideaux qu'il se presse d'installer pour éviter
les regards de l'extérieur.
Je suis maintenant enfermé dans cet espace confiné, un bel homme à côté
de moi en train de se déshabiller.
Il est torse nu, il m'enlève les vêtements et nos poitrines se frottent
l'une contre l'autre.
Il m'embrasse avec des pelles douces et langoureuses. Que c'est bon, je
le caresse et mes doigts n'ont de cesse de parcourir son torse velu à
souhait.
Nos jeans et nos slips dégagent bientôt. Je découvre un sexe généreux.
Il me dit :
« Tu aimes sucer ? »
« Je n'ai jamais fait … »
Il m'offre alors le gland décalotté par l'excitation et me guide dans
une fellation expérimentale.
« Pas avec les dents, attends je vais te sucer pour te montrer »
Je n'avais jamais connu ce plaisir ! Je lui dis que je vais jouir
tellement son pompage est excellent. Il ralentit le rythme en m'appuyant
la base de la verge, pour retarder l'éjaculation m'a-t-il appris.
Compte tenu de cette expérience, je le suce à nouveau et il approuve
l'apprentissage.
Nous nous caressons dans cet espace réduit et il n'arrête pas de me dire
que je suis beau et qu'il est heureux de m'avoir pris en stop. Je suis
tout à fait d'accord avec lui.
Quel bel homme, viril et doux en même temps.

Il me fait comprendre qu'il veut m'enfiler, mais je suis puceau !
« Ecoute, je ne voudrais pas te faire mal, je n'ai pas ce qu'il faut
pour que ce soit parfait, on va faire autrement » .
Il continue donc ses caresses et j'en fais de même. Nos branlades
respectives sont excellentes.
Il commence à râler et je vois d'un coup, des jets saccadés jaillirent
de ma main. Il m'embrasse de plus belle.
C'est alors qu'il reprend mon sexe dans sa bouche et par des va et vient
voluptueux me fait jouir comme jamais je ne l'avais fait auparavant !
Un peu gêné, je voudrais me retirer. Mais il insiste et avale toute
cette jouissance. Puis me roule une pelle avec le restant encore dans sa
bouche et me fais partager la marchandise légèrement iodée et finalement
délicieuse.
La transpiration de nos corps témoigne de la fougue de l'échange ! Nous
restons les corps entrelacés pendant encore cinq bonnes minutes.
Puis on essuie les effluves avec de l'essuie tout. On se rhabille.
Son regard est encore plus beau. Ses yeux d'un bleu limpide terminent
cet instant dans une complicité inexpliquée. Je suis vraiment ravi et
lui également.

Nous reprîmes la route et il me déposa à l'endroit désiré.
Lorsque j'ai fermé la porte de la cabine, je me suis dit :
« mais quel con, je n'ai pas pris ses coordonnées ».
J'ai continué à faire du stop et bien, jamais je n'ai revu cet ange !
Et je n'ai d'ailleurs jamais eu d'autre expérience avec des chauffeurs
bienveillants.

Si jamais il se reconnaît dans cette histoire, qu'il fasse en sorte que
nous puissions revivre un tel événement 20 ans plus tard …

dimanche 21 décembre 2008

Une entente sexuelle parfaite

Voici quelques temps j'avais découvert un certain 3615 sur le minitel et
un service qui va bien pour faire des rencontres entre hommes. J'y ai
passé pas mal de temps et me connectais régulièrement sans jamais avoir
réellement de rendez-vous !
Après plusieurs essais, je m'étais résolu à ne plus aller sur ce
service, le considérant comme nul.

Mais un jour, je suis entré en communication avec un gars qui
apparemment voulait donner suite à cette approche. Suite à l'échange de
nos téléphones respectifs, je pris mon courage à deux mains et décidai
de l'appeler. C'est toujours un peu difficile d'entrer au contact d'une
personne totalement inconnue.
Il avait une voix superbe. Enfin un vrai homme au téléphone ! On passe
les mots d'usage pour en venir à un rendez-vous. Ce qui fut fait dans
l'heure suivante.

Je sonne à la porte de l'appartement parisien, après avoir escamoté cinq
étages d'escaliers ! Un beau jeune homme au large sourire laissant
percevoir une denture impeccable m'ouvre. Il est grand, très fin, les
cheveux bruns légèrement grisonnant sur les tempes. Des yeux verts
splendides me font comprendre que mon physique lui plaît. J'entre. Il me
propose de boire un verre et nous nous asseyons sur son canapé. On
parle, on parle. On échange pas mal de choses sur nos vies respectives
et on s'étonne de tant parler, puisque nous venons de nous rencontrer.
Mais il est aussi bavard que moi.

Au bout d'un moment, je lui demande si on pourrait peut-être concrétiser
notre rencontre. Il se répond qu'il est d'une nature plutôt timide et
qu'il n'ose pas.
Bref, je pose ma main sur son jean, puis laisse courir celle-ci sur le
torse recouvert d'une chemise de ville.
J'approche mon visage sur le sien et tranquillement on se fait des
bisous, pour finir par une pelle magistrale réveillant d'un coup tous
mes sens.
Je déboutonne le haut de la chemise qui laisse passer une poitrine très
velue ! Hum j'adore ça.
De fil en aiguille, je masse son entrejambe pour sentir monter le
baromètre ! Moi, j'étais dans un état d'excitation fabuleux. Les
caresses deviennent réciproques et chacun déshabille l'autre petit à
petit jusqu'à ce que seul le slip nous habille.
Je découvre un corps sublime, longiligne, musclé très finement et sans
un poil de graisse. La fourrure lui recouvre la totalité du devant et
des jambes. Elle est épaisse, brune et légèrement frisée comme je
n'avais jamais vu auparavant.
Notre slip saute rapidement et nos sexes jouent la chamade ensemble
faisant un corps à corps parfait entouré de caresses sublimes sur tout
le corps.

Il se lève et me propose de le suivre dans la chambre. Je suis derrière
lui et lui met le sexe entre les cuisses, nous cheminons ainsi dans la
chambre entrecoupant nos pas de pelles et de caresses. Imaginez
l'instant où nous nous retrouvâmes l'un sur l'autre sur son lit. Jamais
je n'ai connu de si bons moments ! ! !
Nos corps se mirent en position de 69 pour décupler encore le plaisir.
C'est comme si nous étions amants depuis plusieurs mois. L'extase !
Chacun surveille le taux de jouissance de l'autre, c'est un véritable
partage.
Je me maîtrise afin de ne pas jouir de suite et il en fait autant. Je
suis tendance passif et donc lui fais comprendre que j'aimerai qu'il me
prenne.
Il enfile un préservatif et me caresse l'anus afin de l'assouplir. Je
m'embroche sur son sexe qui est très vigoureux. Je le sens faire les va
et vient et je suis au septième ciel ! Je passe ma main sans cesse sur
sa poitrine velue. Quel délice !
Il prend alors mon sexe dans la main et me masturbe vigoureusement. Je
n'ai pas assez de mot pour décrire ce plaisir.
Je lâche toute cette jouissance retenue dans plusieurs jets souillant la
forêt qui lui recouvre le corps. Je sens par ses spasmes que la capote
doit être pleine et qu'il jouit également. C'est une extase mutuelle qui
se termine pas des caresses au ralenti sur nos deux corps exténués par
l'effort du moment.
On s'embrasse et on se félicite de cette entente parfaite.

J'ai eu plusieurs fois l'occasion de revoir ce bel homme sorti d'un
comte de fée.
A chaque fois, c'était l'extase.
Puis il est parti à Nice et je n'ai pas revu ce bel idalgo qui reste
pour moi un idéal.
Peut-on dire que j'étais amoureux, certainement.
Je souhaite à chaque personne de connaître de tels moments !

Mais je n'ai pas dit mon dernier mot, et un jour j'irai à Nice, je sais
où il habite …

samedi 20 décembre 2008

UNE INITIATION FORMIDABLE

Tout a commencé un été ou j'avais 17 ans, une période ou on se cherche
et ou tout peut être source de plaisir !

Mon oncle arrivait a la maison avec un de ses amis,
Christophe.
Je ne l'avais jamais vu mais a chacun de ses regards dans ma direction,
j'avais de plus en plus chaud.

Durant l'après-midi, il décida de jouer au tennis et
se mit torse nu et me permit donc de pouvoir regarder ses beaux
pectoraux et ses beaux poils noirs qu'il avait.
J'ai oublié de vous preciser qu'il etait d'origine mexicaine et que
comme tout habitant du Mexique qui se respecte, il etait assez poilu. Ce
qui d ailleurs accentuait ma légère envie de caresser et de découvrir ce
qu'il avait sous son short.

Pendant toute la partie de tennis, je n'arrivais pas
a me concentrer sur son entrejambe qui etait tres genereuse !!!!
Bien sur, il a gagne et pour me "remonter le moral" il me serra contre
lui en me disant
"c'est pas grave".
Etant tous les deux en nage apres cette partie sous le soleil ardent du
sud de la France, nous décidions de prendre une douche mais comme tous
les deux nous désirions la prendre en premier, nous nous retrouvions
ainsi dans la salle de bain tous les deux.

"Tu sors je vais prendre ma douche", me dit-il
"Non je la prends en premier", lui répondis-je
"Ok, vas-y je vais attendre" tout en restant dans la salle de bain.

Je n'osais pas me déshabiller car je ne m'étais jamais retrouvé nu
devant un autre homme et il se rendis compte rapidement de mon malaise !
"Je vais me retourner et tu rentres dans la douche et puis après je te lave"
Ne voulant pas paraitre trop bête je lui répondis
"pas de problême"
avec mon plus beau sourire (enfin que j'essayais de faire).

Une fois sous la douche il prit le gel douche et me
savonna partout et s' attardant sur mes fesses et ma queue qui malgré
tout l'effort du monde commencait a pointer ! Il profita de cette
malheureuse position et commenca a me masturber tout en restant discret
dans ses intentions

Etant trop voyant au bout d'un moment, il me dit:
"Je crois que tu vas avoir besoin d'aide, ne bouges pas j'arrive"
Il enleva son short, et se retrouva nu et ayant aussi une très belle
érection ! il entra sous la douche et m'embrassa directement !
Mon dieu , jamais je n'ai reçu autant de désir pour un homme et il
explora le fond de ma bouche.
Je lui caressais sa queue et de l'autre main caressait son anus. Après
un long et merveilleux baiser, il descenda le lond de mon corps et
commenca a me sucer. Quelle décharge électrique, je ne me sentais plus
soutenir par mes jambes !
En l'espace de quelques va et viens, je jouis tout ce que mes bourses
pouvaient contenir !
Je voulais que lui aussi prenne du plaisir et je lui proposais mon anus.
Après avoir attrappé un preservatif dans un tiroir de la salle de bain
et du gel, il rentra doucement me permettant de m'habituer a cette queue
toute nouvelle par ce chemin.
Lorsque je fus assez dilater pour pouvoir prendre du plaisir , il
accélera le rythme et se mit a gémir! Je n'ai pas pu résister a ces
assauts et j'éjacula contre les parois de la douche sans avoir touché un
seul instant ma queue ! Il jouit quelques secondes après moi.

Je garde un souvenir mémorable de cette douche virile
et qui me propulsa dans le monde de l'amour entre hommes.

vendredi 19 décembre 2008

PERMANENCE !

C'était mon tour de permanence. J'étais donc à l'armée depuis quelques mois.
Sur le plan sexe, c'était le calme plat. J'avais de bons copains dans le
peloton mais aucun d'eux ne m'attirait particulièrement et puis je
n'avais pas envie de dévoiler mon homosexualité.
Je me contentais donc de me rincer l'œil dans les douches et d'une
petite branlette dans mon lit tous les soirs.

Ce samedi après-midi, je me sentais bien seul dans ma chambrée avec
quelques polars pour seule distraction.
J'ai décidé de prendre l'air et de faire un petit tour dans le camp
pratiquement désert. J'ai vu au loin une silhouette.
C'était Stéphane, un chauffeur d'un autre peloton que le mien.
Stéphane était un très beau mec, de taille moyenne, mince, blond aux
yeux bleus. Alors que je ne le connaissais pas particulièrement, (il
n'était pas de ma classe), il s'arrêtait toujours pour discuter avec
moi. Il était sympathique, aimable, intéressant, bref ce mec me plaisait
beaucoup. Mais il était sans doute hétéro, simplement aimable avec moi
par esprit de communication. Stéphane m'a fait signe au loin. Je me suis
approché de l'atelier où il se trouvait.
- "tu es de permanence ?" m'a-t-il dit.
- "oui, toi aussi, je suppose ?".
- "eh oui ! pour rien comme d'habitude".
Puis nous avons continuer à deviser gentiment. Stéphane a ensuite été
dérangé par un sous-officier qui lui demandait un service personnel, un
entretien sur son véhicule. Je les ai donc laissés et suis retourné à
mes occupations.

Le soir venu, j'ai été prendre une douche. Je me suis habillé d'un
tee-shirt et d'un short de sport (nous étions en été) et je suis parti
vers ma chambrée. A peine sorti des douches, j'ai croisé Stéphane qui,
une serviette sous le bras s'y rendait. Raté, pensais-je, celui là, je
ne le verrai jamais à poil.
- "ah !, tu as fini de prendre ta douche" me dit Stéphane et il a ajouté
"dommage, j'aurais bien voulu voir ton petit cul !".
J'étais sidéré, ému et flatté, mais j'ai eu le réflexe de lui répondre :
- "mon petit cul est visible en dehors des douches".
- "ok", m'a-t-il dit avec un clin d'œil, je viens te voir dans ta
chambrée après ma douche".

Je disposais en qualité de brigadier-chef d'une chambrée de deux lits,
mais j'y résidais seul. Sur le moment, je paniquais un peu. Comment
avais-je pu lui répondre ainsi ? C'est vrai, j'ai un beau cul me
disais-je, bien cambré et depuis ces quelques mois d'armée, ce n'était
pas la première fois que j'entendais une réflexion sur mon cul. J'étais
d'ailleurs plutôt mignon, brun mais imberbe de corps, de grands yeux
noirs et un air innocent. Mais j'avais vraiment envie de baiser et le
grand moment était sans doute arrivé.
Fébrile, j'ai rangé mes affaires de toilette et quelques minutes après
Stéphane entrait dans ma chambrée. J'ai fermé la porte à clef derrière
lui par précaution. J'étais un peu gêné et regrettais presque mon
audace. Mais Stéphane me regardait avec son beau sourire et s'approcha
de moi :
- "panique pas" m'a-t-il dit.
Il me fit un rapide bisou au coin des lèvres et a reculé.
- "vas-y, montre ton cul" m'a-t-il demandé.
- "et toi qu'est-ce que tu me montres ?".
- "le complément d'objet direct, mais après" m'a-t-il répondu.
Fixé sur ce qui m'attendait, je me suis retourné pour baisser mon short
et lui montrer juste mes fesses. Mais il m'a précisé :
- "non, retire tout, fais moi un strip-tease".
Je me suis exécuté maladroitement. Ce fut vite fait car je n'avais qu'un
tee-shirt, un short et un mini slip au-dessous.
J'ai fait quand même un peu ma "salope" pour retirer le slip, regardant
Stéphane dans les yeux et passant ma langue sur mes lèvres. Je me suis
étonné de ma hardiesse, car je n'avais aucune expérience sexuelle. Comme
dans les films, j'ai jeté mon slip à la figure de Stéphane.
- "je te garde en souvenir" m'a-t-il dit et il a ajouté en me regardant
attentivement de la tête aux pieds :
- "tu es très mignon, tu as vraiment un beau cul, on doit être bien dedans"
Et avec un grand sourire il m'a poussé sur le lit. Je me suis allongé
sur le lit et sur le ventre tout en le regardant et lui ai demandé :
- "alors ce "complément" tu me le montres ?".
J'ai cru que Stéphane allait simplement baisser son short et me montrer
sa bite et peut-être me la donner à sucer.
Mais, non, il a retiré ses tennis, son tee-shirt et a fait descendre son
short et son slip sur ses chevilles et s'en est débarrassé.
Lorsqu'il a baissé son slip, sa bite s'est mise immédiatement à
l'horizontal. Quel beau morceau, non circoncis ! juste comme je les
aimais ...

Stéphane est venu me rejoindre sur le lit. Il s'est assis à côté de moi
et m'a caressé doucement les fesses et s'est penché sur moi.
Il m'a embrassé sur la bouche et m'a roulé un patin auquel j'ai répondu
avec fougue.
- "tu sens bon" m'a-t-il dit, "un vrai petit bonbon".
Je me suis tourné vers lui. Il s'est couché sur moi, son ventre contre
le mien. Je sentais aussi sa douce odeur de jeune garçon.
Nos deux bites raides et relevées frottaient l'une contre l'autre
pendant que nos langues s'unissaient.
Ses mains me caressaient les fesses et il a hasardé un doigt dans ma raie.
J'ai gémi de plaisir et sentant mon acquiescement, il m'a retourné sur
le ventre, a écarté mes jambes et mes fesses et m'a mis délicatement un
doigt dans le trou. Puis il s'est penché sur moi et a commencé à me
lécher en partant du haut du dos et en suivant ma colonne vertébrale. Sa
bouche a atteint ma rosette et il m'a léché encore. Sa langue pénétrait
dans mon trou et m'excitait, je gémissais plus fort.

Mais il s'est arrêté, m'a positionné sur le côté et s'est allongé
tête-bêche, présentant son engin à ma bouche. J'ai pris sa bite dans les
mains et l'ai mis dans ma bouche.
Avec mes lèvres, je l'ai décalottée, je faisais tourner ma langue au
tour de son gland. Puis je le pompais avidement. Je l'ai entendu alors
gémir doucement.
Stéphane avait lui aussi pris ma bite en bouche et me suçait.
J'ai dû plusieurs fois me retirer, j'allais jouir trop vite et je
voulais encore attendre.

Stéphane s'est dégagé de moi et reprenant ses esprits m'a demandé de me
mettre à quatre pattes, d'écarter les jambes et de cambrer mon beau
petit cul.
- "je vais te prendre David" m'a-t-il dit, "te baiser".
J'avais encore un peu la trouille, ne m'étant jamais fait enculer. Mais
j'en avais trop envie, surtout par ce beau et gentil Stéphane et je me
suis exécuté.
- "va doucement s'il te plaît, je suis puceau" lui ai-je déclaré.
- "je me doute, ne t'inquiètes pas, si je te fais mal, tu le dis et
j'arrête".
Stéphane m'a préparé encore de sa langue, puis il a introduit un doigt,
puis deux dans mon petit trou. Il m'a craché un grand coup dans la raie
des fesses, poussant sa bave dans mon cul avec un doigt.
Stéphane était un peu plus grand que moi et se trouvait, si je puis
dire, en bonne position.
J'ai senti son gland chaud et baveux sur ma rosette.
D'un petit coup sec des reins, il a introduit son gland. Cela ne m'a pas
fait mal et je l'ai encouragé à continuer.
Il m'a agrippé par les épaules et a poussé vivement mais sans brutalité.
J'ai sentis son bâton de chair faire sa place dans mon ventre. Je ne
ressentais aucune douleur, mais j'avais l'impression d'être coupé en deux.
- "eh oui, on est bien dedans" a déclaré Stéphane.
Stéphane a entrepris de me limer.
Maintenant cela m'excitait beaucoup à l'idée surtout qu'il allait me
jouir dans le ventre.
J'ai ressenti un plaisir inexplicable et j'ai participé à son plaisir en
lui disant :
- "baise-moi, Stéphane, encule-moi, remplis-moi le ventre"
- "t'inquiète, je vais te remplir à raz bord".
Stéphane haletait de plaisir de plus en plus fort. J'ai serré mon trou
du cul sur sa queue comme pour en tirer le jus.
Il a donné une série de coups plus violents, ses grosses couilles sont
venues frapper les miennes.
Puis il s'est bloqué au maximum de mon cul, a émis un petit cri et je
l'ai senti se vider dans mon trou.
Ses jets de sperme chaud me remplissaient le ventre. J'étais un enculé
et j'aimais ça !

Il est resté en moi quelques instants me disant des mots d'amour
entrecoupés de bisous.

Puis il s'est retiré vivement, m'a retourné et a englouti ma bite
toujours raide dans sa bouche.
Il m'a pompé vivement, non il m'a aspiré. Je n'ai pu me retenir plus
longtemps et je lui ai crié "je vais jouir".
Il a continué de pomper et je me suis vidé dans sa bouche.
Il a tout avalé et a continué à me lécher quelques instants.

Stéphane s'est allongé à côté de moi et m'a dit :
- "voilà on est presque quitte", et il a ajouté "je te prêterai aussi
mon cul si tu veux, excuse-moi d'avoir été si direct et si brutal, mais
j'avais trop envie de toi depuis longtemps".
Je lui ai répondu :
- "l'envie était partagée, je n'aurais jamais osé faire la "salope"
comme ça sinon".
Stéphane est resté avec moi toute la nuit et au matin, il m'a dit :
- "on va pas s'ennuyer maintenant, je vais te sauter tous les jours et
réaliser tous tes fantasmes"

Et il a tenu parole, mais ceci est encore une autre histoire.

jeudi 18 décembre 2008

SOUVENIRS D'ARMEE !

Certains trouvent que passer une année à l'armée est une année de gâchée
et d'autres trouvent leur vocation en faisant leur service militaire.
On peut bien tomber ou très mal, être près de chez soi ou très loin.
Moi j'habite à Boulogne sur mer et j'ai fait mon service militaire en
Allemagne, plus précisément à Neustadt dans la vingt et unième compagnie
médicale et je peux dire que c'était une année de plaisir et de
vacances. J'étais secrétaire au PC.
C'est sur qu'on ne pouvait pas rentrer tous les week-end mais on pouvait
profiter de la vie en Allemagne mais surtout des allemands.

Mais il m'est arrivé une aventure avec un gradé qui est restée sans
lendemain mais qui mérite le détour.
On avait l'habitude à plusieurs copains de faire des parties de flipper
au mess et le perdant payait une tournée de bières, la seule boisson
alcoolisée qui était servie.
Un samedi où nous étions de DO, nous devions rester à la disposition des
gradés en cas de trafalgar. La journée s'était passée le plus banalement
possible et le soir après la cantine, nous étions donc au mess en train
de jouer au flipper et écluser quelques bières. Pour dire que la table à
coté du jeu était recouverte de canettes.
Quand nous en avions eu marre de jouer, nous nous étions installés à la
table et nous avions commencé à boire, quand le gradé qui devait nous
encadrer se pointe au mess.
Ce n'était qu'un sergent, il était engagé mais il était vachement sympa.
Il fait donc le tour de la caserne pour voir si tout allait bien, arrive
au mess et nous voit bien attablé :
« Dis donc, il y en a qui se gênent pas » nous lance-t-il.
« Venez nous rejoindre, chef, il y en a pour tout le monde. » « OK »
Et le voilà qui s'installe avec nous à la table, prend une canette et la
liquide d'une seule goulée.
Nous l'appelions chef car cela le faisait mousser et il ne nous
reprenait pas tout en sachant qu'un sergent ne se fait pas appeler chef
mais sergent.
« Il avait soif le chef, ça va donner du courage pour faire le tour de
la caserne. »

Vous dire de quoi nous avions parlé, j'ai un peu oublié, car nous avions
raconté chacun notre vie, détaillé notre région, exposé ce que nous
attendions de l'avenir une fois notre service militaire fini. On a
parlé, on a bu, et encore bu jusqu'à ce que la table soit vide.
On a du certainement en liquider une dizaine chacun.
Après on n'avait plus assez de doigts pour les compter. Rester assis
quand on boit cela va, mais quand on se lève, c'est là que cela tangue,
que la pièce tourne et que tout va très vite.

On sort tous et les effets diurétiques de la bière se font ressentir, il
fait noir, on contourne le bâtiment et on va se soulager la vessie à la
lueur de la lune.
Tout le monde sort son engin, ce qui me permet de me rincer l'œil et
d'admirer de beaux spécimens.
Notre sergent, pour faire autrement que nous, se tourne à l'envers et
nous exhibe son chibre tout en chantant « tient voilà du boudin.»
Nous étions tous restés baba de voir la taille de cette queue au repos.
Les copains cela les fait marrer mais ils ne regardent pas trop « on est
pas des PD » mais le sergent continue gentiment de se soulager tout en
chantant et en se trémoussant dans tous les sens ce qui fait qu'il nous
pissait un peu dessus aussi.
Et ça gueule, et ça rigole. Une fois finis, nous rangions notre attirail
mais le sergent trébuche et s'étale par terre.
On rigole une fois de plus en chantant « le sergent il est bourré », et
lui, allongé par terre, de frapper dans ses mains pour battre la mesure,
toujours le sexe à l'air.
« Qui est ce qui m'aide ? » Nous lance-t-il.
« Je vais vous relever chef mais faudrait ranger votre attirail. » Lui
dis-je.
« Fais le, j'en peux plus. » « Qui est ce qui m'aide ? » en me
retournant sur les copains
« Démerde-toi, nous on va se coucher. »
« Merci et sympa la solidarité. » Gueule le sergent.
« C'est pas grave, je vais rester et vous aider chef. »
« Merci » me dit-il en me prenant le bras.

Un peu gêné quand même, je prenais son sexe avec deux doigts et je le
rentrais dans son pantalon.
J'avais quand même eu le temps de palper et de voir que c'était pas de
la guimauve.
Je le relevais et le soutenais jusqu'à sa chambre qui était dans un
bâtiment à l'écart des dortoirs où nous dormions à quatorze par chambre..

Arrivés à la porte, il me demande si je veux pas rentrer pour boire un
dernier verre avant de repartir et l'aider à se coucher.
J'acquiesce de la tête et rentre derrière lui. Il ferme la porte à clé
prétextant qu'elle ferme mal.

Je jette un œil circulaire dans la pièce assez grande et lumineuse.
Une porte donne sur une petite kitchenette, une autre dans une salle de
bain qui fait toilette également. Dans un coin de la pièce il y a un
canapé en cuir et un meuble sur lequel est posée une télé et une mini
chaîne. Près de la fenêtre, une table et quatre chaises doivent faire
apprécier le paysage le matin au petit déjeuner et enfin le lit trône
derrière la porte avec une petite table de chevet sur laquelle sont
disposés divers objets : montre, radio réveil, une petite lampe de
chevet assez banale et quelques pièces de monnaie.

« Mets-toi à l'aise si tu veux. » Me dit-il « j'ai un bon whisky ou de
la bière. »
« Je crois que j'ai mon quota de bière et je pencherai bien pour un
petit whisky, je peux utiliser les toilettes ? »
« Te gènes pas et mets-toi à l'aise si tu veux »

Je rappelle que, quand on est de DO, on est en treillis, rangers avec
accrochés à la ceinture beaucoup d'objet qui sont assez encombrant : une
gourde, une pelle américaine, une sacoche avec à l'intérieur une lampe
de poche et ses filtres…

Je rentre donc dans la salle de bain pour me soulager et, avant de
sortir, détache ma ceinture pour être un peu plus à l'aise.
J'ouvre la porte et je vois le sergent en short et tee shirt.
Le short assez court mais large qui laissait dépasser le long de l'une
de ses jambes, le bout de son gland.
« Il s'est mis à l'aise le chef. » lui dis-je
« Ecoute, pas de chichi, et comme ça je me sens mieux. »
Je pose ma ceinture par terre près de la porte d'entrée et prend mon
verre servi avec générosité, sur la table.
Pierre (le prénom du sergent) s'était assis en tailleur sur le canapé ce
qui faisait encore plus sortir son sexe du short. Il me fait signe de
venir m'asseoir à coté de lui sur le canapé, chose que j'exécute
aussitôt, il faut être obéissant avec les gradés.
« T'habites où ? »
« Dans le Pas de calais, à Boulogne sur mer. »
« T'as une copine ? »
« Non »
« Moi la mienne, elle me manque. Elle est à Nevers, elle travaille
là-bas, c'est pour ça qu'elle ne m'a pas rejoint. On doit se marier
l'année prochaine si j'arrive à revenir dans la région. C'est long les
nuits tout seul sans femme à ses cotés pour profiter.»

Tout en parlant, je me demandais s'il se grattait ou s'il se caressait.
Je jette un œil vite fait pour voir, il bandait le salop et cela
dépassait de plus de cinq centimètres du short. Au même moment, nos
regards se croisent et il avait vu que j'avais regardé son entre jambe.
« Tu vois comme elle me manque. »
Ah ! Ça pour voir, je voyais à m'en faire sortir les yeux de la tête. Et
lui qui continuait à se caresser tout en me regardant avec plus
d'insistance.
« On dirait que cela t'impressionnes, tout à l'heure tu as hésité à la
prendre pour me la rentrer. Cela ne mort pas, tu sais. »
Et moi, sans réfléchir, étant dans tous mes états, je lui balance :
« Non, je sais, cela ne demande qu'à être sucé. »
Du tac au tac :
« Eh bien, te gène pas ! »

Sans me faire prier, je pose mon verre par terre et écarte d'une main un
peu plus l'échancrure du short pour attraper son sexe de l'autre et
l'enfourner dans ma bouche tel un gamin qui aurait été privé de sucette
depuis plusieurs mois
(c'était un peu la vérité car l'armée c'est un peu le sevrage côté sexe).
Il mouillait !
Je passe le plat de ma langue le long de sa hampe pour en apprécier un
maximum de la taille.
Lui, allongé, toujours les jambes écartées, râlait de plaisir.
« Putain, tu suce mieux que ma copine. »
Pris de joie du compliment, je redouble la cadence, lui palpant les
couilles, lui caressant le pubis, montant sous son tee shirt pour lui
caresser les seins, deux gros tétons que je pinçais.
« Attends, arrête. »
« Pourquoi ? »
« Vire tes fringues. »
« Oui chef ! »
Je me déshabille,, c'est chiant les rangers à enlever, j'allais garder
mon slip.
« Enlève tout »
Entre temps, il avait viré le short et le maillot et s'était de nouveau
allongé sur le canapé. Je reviens, m'installe entre ses jambes et
recommence à m'occuper de son sexe qui devait bien faire 23 cm
maintenant que je le voyais entièrement.
« T'aimes ça mon salopard, je m'en suis toujours douté en te regardant »
qu'il me dit tout en donnant des coups de reins pour accélérer la
cadence et m'enfoncer plus loin dans ma gorge son sexe que j'avais du
mal à avaler entièrement.

D'un seul coup, il se redresse et me donne une claque sur mes fesses, je
ne pouvais crier ayant la bouche pleine, donc je gémis, et lui de croire
que cela me plaisait, m'en donne une autre sur l'autre fesse.
Je n'avais jamais eu d'expérience de ce genre, n'ayant jamais été attiré
mais entre la douleur due à la violence des claques et un peu la
stimulation de la situation, je me trémoussais tout en gémissant.
« Vas-y » et vlan !
Une claque sur la gauche,
«Encore » et paf,
une sur la droite qui était jalouse.
Je continuais mes va et viens le long de son sexe tout en caressant ses
testicules, les léchant et essayant de descendre en dessous pour me
diriger vers son anus.
Lui ayant compris ma manœuvre, se retourne, se met à quatre pattes
« tu veux me bouffer le cul, te gènes surtout pas ! »

Il n'était pas de toute propreté mais je me suis dit dans l'état où je
suis, je n'étais plus à ça près et ça me laissera encore plus de
souvenirs. Entre la nausée et l'excitation, je lèche et lave en bavant
bien sur son anus, l'endroit tant exposé à mon regard.
Il continue de gémir, je le branle tout en le léchant, il se trémousse.
On est vraiment à la limite de l'apothéose. Il se retourne de nouveau,
s'assied et me regarde.
« J'ai envie de te prendre »
Vous me croirez peut-être ou pas, mais j'étais encore vierge de ce côté,
n'ayant toujours eu que des partenaires passifs.
Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela
s'arrête là.
Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi :
« T'as quelque chose pour me préparer, c'est la première fois »
« T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut »

Il se lève et va dans la cuisine, je l'entends ouvrir un placard et le
vois revenir avec une plaquette de beurre. Je ne savais si je devais
rire ou prendre la chose sérieusement mais je compris que j'allais
passer à la casserole et apprécier la cuisine au beurre.

Je me retourne et me mets à quatre pattes. Il prend le beurre et
commence à me badigeonner ma tirelire avec douceur.
Tout d'abord tout autour et ensuite il s'est occupé avec un doigt de mon
orifice.
Je ne pourrais pas dire qu'il ne m'a pas préparé avec délicatesse.
Il s'est ensuite installé à genoux derrière moi, s'est badigeonné le
sexe avec un peu de beurre, s'est présenté à l'entrée, a poussé un peu
pour forcer l'introduction. J'ai cru qu'on était en train de m'empaler
avec un poteau électrique.
J'ai crié, il s'est retiré aussitôt.
« C'est vrai que t'es puceau, je vais te donner quelque chose pour
éviter que tu cries. »
Il se lève, ouvre un tiroir du meuble face au canapé et en sort une
balle en caoutchouc, me la tend :
« Tiens mords ça pour éviter qu'on t'entende gueuler. »
Je l'ai prise, l'ai mise dans ma bouche et l'ai mordue du plus fort que
je pouvais.
Il s'est remis derrière moi et a recommencé son entrée. Il y a été quand
même avec un peu plus de douceur que précédemment mais a réussi à faire
pénétrer son gland, s'est arrêté pour laisser calmer la douleur.
Moi je mordais la balle et (je l'avoue) pleurais de souffrance.
Il a, petit à petit, continué sa pénétration en faisant de légers va et
viens. Je mordais, il bougeait, je pleurais, il s'enfonçait mais
toujours avec douceur et lenteur.

J'allais lui dire d'arrêter, la douleur étant trop insupportable quand
je me suis rendu compte que justement la douleur commençait à se passer,
mon anus étant dilaté et pouvant enfin supporter l'outrage que mon
partenaire m'infligeait..
« Ca va ? »
« Mieux maintenant » en crachant la balle en caoutchouc.
« Bon ben on va accélérer la cadence. »
Il a donc augmenté la vitesse de ses va et viens tout en s'enfonçant un
peu plus à chaque fois. Je me suis même demandé si cela allait ressortir
par ma bouche, vu la taille de son sexe.
J'étais en train de me faire enculer par un mec, un gradé et hétéro de
surcroît. Je ne savais pas quoi penser mais je profitais de la situation
car je ne pense pas que cela m'arrivera tous les jours.
La douleur a laissé la place au plaisir, lui me défonçant tout en
rallant et moi gémissant d'extase. Il me tenait bien par la taille et y
mettait toute sa fougue de male viril pour me défoncer au maximum de sa
force.
Je le sentais à l'intérieur de moi me labourer et il en tirait aussi du
plaisir.
J'ai senti qu'il allait jouir car il s'est retiré et un liquide chaud
s'est écoulé sur le bas de mon dos, tout en poussant de petits cris, il
m'a joui dessus.
« Ah ! C'est bon, je viens. »
Il s'est écroulé sur mon dos, moi n'ayant pas bougé et toujours à quatre
pattes sur le canapé comme un chien fidèle et docile.

« Mais tu n'as pas encore joui ? »
« Non » bredouillais-je
« Viens avec moi, on va se laver. »

Il se lève et dirige vers la salle de bains, toujours obéissant, je le
suis. Il y avait un lavabo, les toilettes et derrière la porte, je ne
l'avais pas remarqué tout à l'heure, une cabine de douche assez grande
pour tenir à deux voire trois dedans.
Il rentre, je le suis, il fait couler l'eau pour qu'elle soit chaude,
prend un gant de toilette, y met du savon, m'attrape pour me retourner,
commence à me laver le bas du dos et enlever toute trace de souillure ou
de son passage.
Il frotte et commence à faire le tour de mon corps avec le gant pour
atteindre mon sexe.
Je n'avais même pas fais attention tout au long de notre périple que les
quelques fois qu'il m'avait touché, c'était pour me donner la fessée ou
m'attraper par la taille pour m'enculer.
Tout en me savonnant, il a commencé un va et vient avec mon sexe.
Je ne rêvais pas, il était en train de me branler, rapidement mais
efficacement.
J'étais tellement excité que cela fut rapide. J'ai joui en crachant ma
semence sur la paroi de la douche.
Pour le remercier, je l'ai savonné à mon tour, un peu partout pour qu'il
soit propre et qui sait peut être remettre ça.
On s'est rincé, il a sorti des serviettes pour s'essuyer, m'en a jeté
une pour me sécher, je me suis risqué à lui essuyé le dos, il s'est
laissé faire. Alors je l'ai essuyé complètement, le dos, les bras, les
jambes, ses fesses, son torse et son sexe mais malgré mes caresses
savantes, il était vraiment HS et n'avait pas réussi à rebander tout de
suite.

Il est sorti de la salle de bain, s'est jeté sur son lit. Je suis sorti,
ai ramassé mes affaires et ai commencé à me rhabiller.
« Tu ne claqueras pas les portes en sortant. »
« Non chef ! » Lui répondis-je avec un grand sourire. « Bonne nuit, chef. »
« Ouais ! Bonne nuit et pas un mot à personne. »
« Motus ! Et bouche cousue. »


Je suis reparti vers ma piaule, ne sachant même pas l'heure qu'il
pouvait être. Tout le monde dormait, je me suis déshabillé, me suis
couché tout en repensant à ce qu'il venait de m'arriver.
Personne ne voudrait jamais me croire, donc je décidais de n'en parler à
personne. Je me suis endormi, tout en rêves érotiques pleins de gradés
qui abusaient de mon corps.

La vie à repris son court normal, et quand je croisais le sergent, je le
saluais par respect pour le grade et lui de me répondre par un clin d'œil.
Je m'étais dit qu'il n'était pas si saoul qu'il voulait le faire croire
car il se souvenait certainement de tout rien qu'à la manière de
répondre à mon salut.
Une quinzaine de jours plus tard, je le surpris sortant du mess avec un
jeune soldat et se diriger vers son bâtiment.
Et là, je me suis demandé si j'étais le premier à passer à la casserole
ou si c'était un jeu qu'il aimait jouer.

La dernière fois que je l'ai vu, c'est quand j'ai été libéré de mes
obligations militaires, avant de monter dans les camions qui nous
conduisaient vers la gare pour prendre le train qui nous ramènerait en
France. Il est venu vers moi, m'a salué en me tendant la main et me dire :
« De tous, ça a été toi le meilleur. »
Les copains m'ont charrié, ne sachant pas de quoi il voulait parler.
Mais moi je savais et cela m'a fait énormément plaisir et en même temps,
j'ai eu confirmation de mes doutes en ne regrettant qu'une chose, ce
soit de ne pas avoir remis le couvert après.
Cela fait dix neuf ans que cela m'est arrivé mais j'en garde toujours un
excellent souvenir comme si cela m'était arrivé hier.

mercredi 17 décembre 2008

UN FANTASME DEVENU REALITE !

* Je suis a priori hétéro mais depuis quelques temps, j'ai un fantasme :
avoir une expérience gay.

L'histoire qui suit s'est déroulée l'été dernier.

Je sors depuis trois mois avec une fille géniale mais dont je ne suis
pas amoureux. Cet été elle m'invite à passer 1 semaine dans la maison de
campagne de ses parents à 2 heures de Paris.
En arrivant dans cette propriété, je suis impressionné par le luxe et le
confort qui règne ici. La maison en elle même est énorme.
A quelques centaines de mètres de la maison, il y a une autre petite
maison dans laquelle sont reçus les invités.
Devant celle-ci, une grande piscine de 25 m de long. Le rez-de-chaussée
de cette maison est consacré à une piscine intérieure et une salle de
sport. Au sous-sol on peut trouver un sauna, des vestiaires et des
douches. Les vacances s'annoncent bien…

Nous arrivons tard dans la soirée de Paris et nous allons nous coucher
directement. Nous ne dormirons pas dans la chambre de ma copine mais
dans la petite maison pour être plus tranquilles.
Comme presque tous les soirs, nous faisons l'amour.

Le lendemain, tout le monde se retrouve autour d'un brunch. Nous sommes
avec ses parents, un couple d'amis à eux accompagnés de leur fille qui a
mon âge, et le frère de ma copine.
J'avais déjà rencontré son frère plusieurs fois et je dois avouer que ce
mec me plait énormément et il faut dire que j'ai déjà pensé à lui pour
réaliser mon fantasme.

Il a 26 ans, brun , mesure 1.85 m et est assez barraqué. Au fait, j'y
pense, je ne me suis pas décrit physiquement : beau mec (pourquoi ne pas
ledire ?), 25 ans, brun cheveux raides, 1.80 m, 70 kl musclé et mince.
Je suis assez poilu, sur le torse, et particulièrement sur les jambes et
les fesses (entièrement recouvertes) mais pas dans le dos. Je suis assez
bien monté sans être un Rocco (18.5 cm), mais je suis content de ce que
j'ai.

La journée se passe tranquillement au bord de la piscine où tout le
monde discute en sirotant des jus de fruits frais. Alors que le soleil
décline, ma copine et tous les autres se retire pour aller se préparer
pour la soirée.
C'est alors que Maxime (le frère de ma copine) me propose de faire un
sauna pour bien finir la journée. J'accepte avec joie. Moi qui l'ai maté
toute la journée, je vais enfin pouvoir le voir de près.
Il est vraiment bien foutu. Son torse est moins poilus que le mien,
mais il a autant de poils sur les jambes et son dos, sans être velu,
est loin d'être imberbe (bas du dos, épaules), ce qui laisse deviner des
fesses poilus (j'adore ça).
Le temps que le sauna chauffe, nous nous mettons dans la piscine et nous
discutons. Une demie heure plus tard, il m'invite à descendre au sauna.
L'ambiance du sous sol est chaude et la lumière y est très tamisée.
Avant d'entrer dans le sauna, il me regarde et me dit qu'un sauna
"c'est à poil ou pas du tout !"
Je lui répond que c'est évidant , sur quoi il se retourne et fait
glisser son boxer jusqu'à ses chevilles, ce qui me permet de découvrir
un sublime cul bombé et bien poilu.

Il se retourne vers moi et mon regard ne peux s'empêcher de descendre
jusqu'à sa bite que je trouve assez petite au repos. Le temps que je
sorte de mes rêves et je m'aperçois qu'il m'attend avant d'entrer dans
le sauna. Depuis quelques minutes, ma queue commençait déjà à gonfler
dans mon maillot et lorsque je le retire, je suis loin d'être ridicule.
Je sui ravi de voir que son regard fait quelques aller-retour sur mon
entre-jambes. Il faut vite entrer dans le sauna avant que je ne bande
complètement.
A l'intérieur je ne peux m'empêcher de le mater de la tête au pied. Je
suis assis à coté de lui et je m'arrange pour avoir des positions qui
lui dévoile bien mon corps. J'adore quand il regarde ma bite dont
j'essaye temps bien que mal de masquer l'érection naissante. Lui à l'air
de rester cool et nous discutons de choses et d'autres pendant notre séance.

Le sablier se termine et il passe devant pour sortir, ce qui me permet
de le mater encore, j'ai envie touché son cul en faignant ne pas l'avoir
fait exprès. Je le suis jusqu'à la douche qu'il prend glacée sous mes
yeux avant de me laisser la place. Quand il sort de la douche, je le
croise de près et ma bite effleure sa cuisse (bingo). Je le rejoins
ensuite jusqu'à la piscine intérieur où il se baigne à poil. Je n'ai
qu'une envie lui sauter dessus, mettre sa bite dans ma bouche pour la
laisser grandir en moi… Mais il faut que j'arrête de me faire des idées,
il est hétéro et a l'habitude de se montrer à poil devant d'autres mecs
dans son club de sport.

Il est maintenant grand tant d'aller se préparer pour le dîner. Nous
nous rhabillons et partons chacun de notre côté. L'ambiance autour de la
table est incroyable et le mélange de génération ne se fait pas sentir.
Nous avons déjà commencé à boire à l'apéritif, nous continuons avec
excès pendant le repas et avant d'avaler mon verre de calvados à la fin
du dîner, je sens que je vais avoir du mal à me lever de table… En
passant au salon, les convives nous quittent au fur et à mesure jusqu'à
ma copine qui se dit crevée nous laissant seuls, Maxime et moi.

Je décide de prendre les devants et je lui propose un bain de minuit.
Titubant, il accepte volontiers et nous partons bras dessus, bras
dessous jusqu'à la piscine, comme deux très bons amis. Pour ne déranger
personne, nous nous baignerons uniquement dans la piscine intérieure. Je
me déshabille entièrement devant lui et saute à poil dans la petite
piscine. Il fait de même. Une fois dans l'eau, nous asseyons sur les
marches. Nous sommes complètent ivre et nos jambes de frôlent. D'un coup,
il me pose une question que je n'espérais pas :
"T'as déjà couché avec un mec ?".
Je lui répond que non et je lui retourne la question alors qu'il a déjà
posé sa main sur ma cuisse. Il me dit qu'il a déjà essayé une fois alors
qu'il avait 18 ans avec un de ses profs au lycée, depuis plus rien.

Je m'approche alors de sa bouche et lui roule une grosse pelle. C'est le
bonheur. Je m'assois plus haut que lui et il met ma bite déjà dure dans
sa bouche chaude. Il me pipe comme un dieu, mieux que toutes les filles
que j'ai rencontré jusque là. Il se lève ensuite et sa bite arrive pile
à la hauteur de ma bouche, elle n'ai pas encore dure mais elle est très
grande par rapport à tout à l'heure. J'adore la sensation d'avoir une
bite dans la bouche, son gland est doux et je masse son cul poilu de mes
mains en m'approchant de plus en plus de son trou.
Sa bite est maintenant dure comme du bois et je découvre un bon 19 cm
(estimation vérifiée par la suite). Il se retourne et se penche en me
présentant son cul que je commence à lécher en faisant légèrement
pénétrer ma langue dans son trou. Il a des gémissements d'extase. Je
n'ai jamais connu des moments aussi forts en jouissance.

Il me demande de descendre dans les vestiaires pour que personne ne nous
surprennent.

Arrivé en bas, il s'allonge sur la moquette et je me met sur lui en 69.
Sa bite, qui est légèrement retombée repart de plus belle.
Il me demande si je suis actif ou passif, ce à quoi je lui répond que je
veux tout essayer.
Il se met à quatre pattes et je lui lèche ses couilles poilus et son cul
avant de lui mettre un doigt puis deux.
Il me dit qu'il est prêt.
Je colle mon gland sur son anus et je l'enfonce doucement. Il gémit de
plus belle. Je force un peu. J'ai l'impression qu'il a mal mais il ne
m'arrête pas. Je suis maintenant complètement en lui et les poils de son
cul se mélangent aux poils de mon pubis. Son trou est bien serré et je
ne tarde pas à me retirer pour éjaculer avec puissance sur son dos
musclé. Il se retourne et me suce après m'avoir dit que la prochaine
fois il voudra goûter mon sperme.

Je suis encore surexcité. Je me met sur le dos et il commence à me
lécher l'anus. Je ne bande plus mais cette sensation est géniale.
Après avoir mis une serviette par terre, il s'allonge sur le dos, se
masturbe un peu pour regagner de la vigueur et me demande de venir
s'empaler sur lui.
A mon grand étonnement, je fait pénétrer sa queue en moi sans trop de
difficulté. Je recommence à bander comme un fou.
J'aime autant être actif que passif et apparemment lui aussi.
Il me caresse les cuisses pendant que je fais des aller retours sur sa
bite. Je me masturbe en même temps.
Nous gémissons tous les deux. Il est assez souple et arrive à mettre ma
bite dans sa bouche.
C'est le pied total.
Sans le prévenir j'éjacule dans sa bouche.
D'abord surpris, il finit par tout avaler. Moi aussi je veux goûter à
son sperme. Je me retire et je met sa queue dans ma bouche.
Il éjacule et je sens son sperme qui vient taper au fond de ma bouche
puis je découvre ce goût étrange mais pas désagréable.
Nous nous allongeons l'un à côté de l'autre, nos corps humides,
quelques minutes puis nous partons nous coucher chacun de
notre côté sans dire un mot.

Le lendemain matin, nous nous sommes retrouvé pour parler de notre
soirée. Nous avons convenu de recommencer et de se revoir à Paris.
Depuis j'ai quitté ma copine et je revois Maxime à Paris pour des plans
cul de plus en plus chaud, tout en sortant avec d'autres filles. Cette
situation me convient très bien, mais mon pied, je le prend vraiment
avec lui.

Un jour, je pense que nous essayerons un plan à trois.*

mardi 16 décembre 2008

Commencement

Bienvenue sur ce blog!

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